Alain Degandt

Alain Degandt

Ses commentaires les plus récents

  1. Chère Thérèse, votre lecture est parfaite ! Vous savez exprimer le caractère de chaque personnage avec une grande justesse et une grande variété de tons qui rendent les différentes scènes très vivantes, très pittoresques et très agréables à suivre. C’est un vrai régal pour l’auditeur ! Un grand bravo pour cette réalisation !

  2. Merci Charmantchardon pour votre chaleureux commentaire, très encourageant, qui me va droit au coeur. En confidence, les phrases de Louis Pergaud sont si riches et souvent si longues, qu’il m’arrive fréquemment de les “attaquer” à haute voix en prenant un bon bol d’oxygène d’abord, puis en les lisant par blocs, séparés par une très légère pause seulement, essayant de mon mieux de bien en faire entendre ce qui est selon moi leur articulation logique. Franchement, Pergaud est un auteur qui me ravit par son style et par la précision de son vocabulaire, bien ajusté aux observations qu’il a pu faire dans la Nature et à la psychologie qu’il prête aux animaux, mais pour le lecteur à haute voix, ce n’est pas toujours une partie de plaisir ! Néanmonis, rassurez-vous, je “ne lui en veut pas”, loin s’en faut, car c’est un auteur admirable ! Merci encore !

  3. Merci Sylve pour votre sympathique impatience ! J’espère ne pas vous décevoir. Très bonne journée à vous.

  4. Merci beaucoup, Sylve, pour votre commentaire. Je partage votre point de vue, à la fois sur la présence importante des camisards dans le récit (la curiosité de Stevenson pour ce sujet ayant peut-être été particulièrement aiguisée par le fait qu’il était le descendant d’une famille écossaise calviniste), et sur le (non-)respect “du bien être animal” (comme on dit à présent), qui suscite, selon moi, un légitime et nécessaire intérêt et mérite d’être activement défendu, mais qui peut aussi parfois, par ses excès (notamment dans le domaine des animaux de compagnie et des NAC), prêter à sourire. Comme vous l’écrivez, notre perception des animaux a changé, et c’est une très bonne chose, donc, comme souvent lorsqu’on lit des écrivains du passé, il convient de replacer les choses dans le contexte de l’époque.
    Pour information, j’envisage de lire prochainement un autre récit du même auteur-voyageur, moins connu je pense que Le voyage dans les Cévennes : “Voyage en canoë sur les rivières du Nord” ou, autre titre : “A la pagaie !”

  5. Très belle réalisation, un véritable travail d’artisan ! Tout est de qualité et l’atmosphère des “seventies” est sympathiquement restituée. Merci Bruant !

  6. Merci Idir pour votre appréciation. Je vous souhaite autant de joyeux plaisir à l’écoute de ce drôlatique récit que j’en ai eu à le lire.

  7. Merci pour votre commentaire, Jany. Je suis content que ce texte humoristique vous ait plu. Je dois dire que j’ai pris grand plaisir à l’écrire, en pleine période de confinement imposé, et à en faire la lecture sur ce site quelques temps après.

  8. Merci Forestier cathi pour votre appréciation sympathique et très encourageante. Oui, je pense pouvoir affirmer que tous les membres de notre petite troupe audio-théâtrale se sont bien amusé à interpréter ce grand classique, sous la houlette de notre chère Plume 🤗😋! Ce fut un vrai plaisir partagé et un passionnant travail d’équipe,comme vous l’avez si aimablement ressenti.

  9. Merci à vous Ascione pour votre appréciation. C’est un encouragement pour moi à continuer de publier des lectures sur ce site.

  10. Merci Sautillant pour votre cordial et vivifiant commentaire, bien dans le ton de ce brillant sermon. Amitiés,
    A. De Velours 😉

  11. Merci Estelle pour ce beau et courageux choix de lecture ! Nous attendions avec impatience que le traducteur de l’oeuvre fasse son entrée dans le domaine public. Le début de l’écoute de votre réalisation laisse augurer d’heures passionnantes à passer en votre compagnie et en celle du grand Jack !

  12. Oooups! Ouooops! Excuse-moi Jocelyne, j’étais complètement à côté de la plaque (je n’ai pourtant pas fait d’excès hier soir pour le réveillon !) 🙄😱😩! J’avais dans la tête ma lecture du “Grillon” de J-H Fabre!… lu précédemment ! Mille excuses ! Mais je suis néanmoins très heureux de t’avoir fait connaître cet aspect de l’oeuvre de Louis Pergaud, auteur de la célèbre “Guerre des boutons”, qui a perdu la vie lors de la 1ère guerre mondiale.

  13. Merci Jocelyne pour ton beau commentaire. Je suis ravi de t’avoir fait connaître et aimer Jean-Henri Fabre grâce à ce texte. J’en profite pour t’informer de l’existence de l’Harmas, Musée Jean-Henri Fabre, rattaché au Muséum National d’Histoire Naturelle, situé à Sérignan-du-Comtat sur la route d’Orange (Vaucluse), où Fabre résidait et menait ses recherches et ses expériences… à quelques minutes de chez toi 😉🤗😊 !

  14. Quelle belle et émouvante surprise pour commencer cette année 2024 🤗 ! Qu’elle soit douce et légère à tous !

  15. Une entreprise monumentale et une grande réussite ! Merci aux participantes et participants. Bravo à Christian D. pour la coordination !

  16. Merci cher Sautillant pour votre commentaire chaleureux, enrichi par cette parole de Celan venue dans votre boîte aux lettres par une heureuse coïncidence. Merci aussi pour avoir placé cette lecture parmi vos favoris (-ites 😉). À mon tour de vous serrer amicalement la pogne !

  17. Avec une touchante sobriété et une lucidité sans concession, Ronsard exprime ici toute l’essence de la condition humaine. Un magnifique chant du cygne, dans un crépuscule apaisé. Merci Pauline pour votre belle et poignante lecture.

  18. Je suis très heureux que cette chanson t’ait plu. Je l’avais publiée sur le site en pleine épidémie de la covid, en particulier à destination des enfants confinés.

  19. Merci Jocelyne pour ton commentaire si encourageant, et bienvenue sur notre site de partage !

  20. Un très grand merci pour votre commentaire si élogieux, qui me touche et m’encourage. J’ai programmé 3 lectures d’extraits des Souvenirs entomologiques de Jean-Henri Fabre parmi mes prochaines publications. C’est un plaisir pour moi de lire les textes d’une grande qualité littéraire de ce grand scientifique.

  21. C’est magnifique : après la fin du (très beau) poème, le poème poursuit son chemin 🤗 ! Merci au poète et à la lectrice ! De plus, la musique de Frédéric Chopin, qui sait se faire discrète et modulée, s’accorde à merveille avec la voix de Pomme.

  22. Merci Christiane pour votre chaleureux et très encourageant commentaire. Bien cordialement à vous,
    Alain D.

  23. Merci à vous Myriam pour votre aimable commentaire. Je suis content que ce voyage et ma lecture vous aient plu.

  24. Cher Vincent, vous avez accompli-là un travail admirable ! Tout est parfait et votre lecture, d’une grande qualité comme d’habitude, est captivante. Merci de m’avoir fait découvrir cet auteur, que je ne connaissais que de nom. Ce récit très prenant me touche d’autant plus particulièrement qu’il me renvoie à une époque, à des lieux et à des évènements très importants pour la branche paternelle de ma famille (grands-parents, père, oncle/parrain et tantes). Merci aussi à l’ensemble de ceux qui se sont exprimés avant moi pour la qualité de leurs commentaires (qui ont généré de votre part des réponses détaillées et très éclairantes). AD.

  25. Cher Sautillant je suis très touché par votre message et… Je n’ajoute rien, sauf : Merci !

  26. Ouf 😱😰😥! Je l’ai échappé belle ! Cher JPB je vous embauche illico presto comme directeur (bénévole) de conscience 🙄😇 !

  27. Et bien, chère Christiane-Jehanne, que le Diable me patafiole si je n’ai pas appris aujourd’hui, grâce à votre astringente, carminative, cholagogue, dépurative, emmoliente, rubéfiante, stimulante et tonique lecture, de bien étonnantes choses, et des plus mirifiques ! Ah, ce pauvre Rutebeuf (phonétiquement le bien nommé, en l’occurence…), en a-t-il fait de beaux voyages pour acquérir toute cette science, Mon Dieu ! Et, au fait, sait-on enfin ce que sont devenus ses amis, qu’il avait de si près tenus et tant aimés ?
    A.D.

  28. Merci à vous, Simon, pour votre commentaire très élogieux, qui est pour moi un précieux encouragement.

  29. Merci chère Pomme pour ce commentaire élogieux. Je vous adresse mes plus cordiales pensées.

  30. Merci pour votre commentaire,Aquila ! Ravi que ce petit texte vous ait plu.

  31. Merci à vous, Théo, Anon et Chrestian, d’avoir pris le temps de nous encourager par vos commentaires élogieux. Nous espérons vous compter dorénavant parmi nos fidèles auditeurs. Bien cordialement,
    A.D.

  32. TRANCHE DE VIE PERSO : Lundi dernier, je suis allé au village pour faire mes courses hebdomadaires, comme on nous l’a recommandé. Je ne sais pas trop pourquoi, mais pensant que la plupart des gens ont dû garder l’habitude de faire les leurs plutôt le samedi, je me dis que le lundi il y aura moins de monde. A la boulangerie, je demande du pain “en couronne” car je trouve que sous cette forme il se conserve mieux(mais ce serait peut-être difficile à démontrer).
    – Mon pôv’ monsieur, x’cusez mais avec la crise, je n’ai pas grand chose à vous proposer comme couronne, me dit la boulangère, regardez c’qui m’reste.
    Effectivement, le ratelier de présentation ne comptait que 4 ou 5 unités, plus ou moins assez cuites par ailleurs…
    Elle précisa : – Alors, voyons, qu’est-ce qui vous conviendrait ? Y’en a une aux graines de pavot, deux au curcumin et pis y’a celle-ci au seigle et l’aut’ el’ doit êt’ nature, au froment… alors ?
    Et moi, capable comme toujours du meilleur comme du pire, je réponds du tac au tac : – En tout cas, pas UNE COURONNE à VIRUS… !
    … Ben, ce jour-là, faut croire que j’étais pas capable du meilleur !

  33. Merci cher Ahmed. Je vous adresse en retour mes meilleurs voeux de bonne et heureuse année 2017. Qu’elle vous soit douce et légère et qu’elle vous permette de réaliser vos projets les plus chers.
    Bien cordialement,
    ALAIN D.

  34. Bonjour Lucos,

    J’ai dû batailler ferme avec les nuages, les brumes et brouillards, le froid quasi sibérien et les grêlons, le grésil et les harpes de pluies glaciales
    pour venir vous répondre ! Brrrr ! D’affreux glaçons me pendent des narines tuméfiées et me font ressembler à un morse ! Cher Lucos, JE VOUS AI COMPRIS ! Et j’adresse illico mon billet sur notre site : La drôlatique histoire du roi inuit allant visiter ses terres. Il s’agit d’une fable moderne, qui n’a d’autre prétention que de faire sourire et divertir. Alors, guettez bien les prochaines publications !
    Amitiés,
    ALAIN D.

  35. Merci Chère Jeanne-de-la-Ville (avec traits d’union de résistance aux oukases), c’est toujours un plaisir de vous retrouver. Merci de votre chaleureuse et encourageante fidélité. Bien cordialement,
    ALAIN D.

  36. Cette traduction de Fanny WILLIAM LAPARRA est utilisée pour le très bel ouvrage publié par les Editions du Rouergue (ISBN : 2 84156 093 7 – Avril 1998). Le texte est accompagné pas à pas par les magnifiques photos de Nils WAROLIN, qui permettent de nous retrouver dans les lieux traversés par Stevenson et Modestine. Dans maints endroits, le temps semble s’être arrêté, et tous les lieux recèlent une part de l’âme du pays. Il existe d’autres traductions, mais elles ne sont pas encore libres de droits.

  37. Merci, cher Shmuel, votre réponse ne l’est pas moins ! Bien cordialement,
    A.D.

  38. – Merci à tous les trois pour l’intérêt que vous montrez pour cette lecture.
    Ahmed, j’espère comme vous que d’autres auteurs anglais, philosophes ou pas, viendront compléter notre déjà si riche audio-bibliothèque : Hobbes, Locke, Peppys, Sterne, Smolett … et que des audio-lecteurs au long cours, plus courageux que moi, liront leurs oeuvres intégrales.
    – Louise Michel, je trouve que votre pseudo vous va comme un gant et que vous lui faites honneur avec beaucoup de panache.
    – Shmuel, merci pour votre panier d’oranges raynaldiennes. Mais il me semblait bien, jeudi, qu’elles avaient comme un goût de citron. Aussi, je m’apprêtais à emprunter la 2CV de ma soeur, pour aller rendre visite à Mademoiselle Lelongbec, la cheftaine de notre chorale, afin qu’elle m’éclaire un peu, car sur le coup, j’en voyais “36 chandelles” (comme l’émission de Jean Nohain du même nom, où Fernand Raynaud excellait). Elle m’aurait sans doute reçu devant un bon café crème et deux croissants, heu… non, elle n’a jamais de croissants, alors, devant un bon thé ou un bon chocolat et … 2 croissants, ah ! non ! etc. […]Mais vu l’effet produit, constaté à mon retour de week-end, elles me semblent douées, ces oranges, de pouvoirs hautement stimulants (j’espère que ce n’est pas dû au Diphényl) ; aussi vais-je les mettre à macérer dans mon vin chaud ; ce qui restera du tonneau servira conjointement pour accommoder mon boeuf bourguignon et faire chabrot après ma soupe à la tomate (je maintiens qu’à qualité égale, les deux peuvent supporter la comparaison, non mais !!!).

  39. Merci à vous, Shmuel, pour ce charmant petit compliment, si bien troussé, que je transmets de ce pas à notre cher compositeur quasi gymnocéphale, et pourfendeur de serpents gymnophides de tous poils !

  40. Merci Matthieu pour l’intérêt que vous, votre classe et peut-être votre professeur, manifestez pour mon poème.Une biographie dans le cadre de cet espace de dialogue me paraît impossible.Sachez toutefois que je suis né et ai grandi dans des banlieues ouvrières de la région parisienne (années 50-60), que j’ai été professeur de français pendant une petite vingtaine d’années, puis proviseur (lycées) et principal (collèges), pendant plus de 20 ans, et qu’à présent je vis à la campagne pour mon plus grand plaisir.Jeune enfant, j’ai été profondément marqué par l’enseignement d’un instituteur qui expérimentait en pionnier la méthode Freinet, notamment par la pratique du “texte libre”, dans un fonctionnement de classe coopératif.Depuis, j’ai toujours lié lecture et écriture, pensée et action, indépendance et esprit de coopération, liberté et responsabilité.A partir de 15ans, je me suis particulièrement nourri de la lecture de l’écrivain Jean Giono, du poète René Char et du philosophe Gaston Bachelard (mon poème fait à plusieurs reprises écho, selon moi, à son étude intitulée “La Terre et les rêveries de la volonté”), qui m’accompagnent dans mon parcours de vie comme des amis tutélaires.Je m’intéresse par ailleurs aux différents arts, qui tissent entre eux des correspondances vivifiantes et nous permettent souvent de mieux nous approcher de la vérité.Bon exposé et soyez toujours curieux, créatif et imaginatif!Avec toute ma sympathie,
    ALAIN D.

  41. Merci à Camille, Lucie, Lemoko et Any pour leurs commentaires et leurs compliments, qui font chaud au coeur !

  42. Merci Isabelle, votre commentaire est lui aussi plein de (très bon) goût et de sensualité.Si Gaston vient à le lire, nul doute qu’il sera tenté, dorénavant, par des siestes “améliorées”, qui se pratiquent, comme chacun sait, à deux ! … et son tilleul ou son noyer aura tout d’un érable pourpre !

  43. Je trouve que le mot “Seigneu-re-rie”, tel qu’il a été prononcé à plusieurs reprises dans la pièce, est une véritable trouvaille d’acteur, digne d’un grand professionnel, et si bien dans l’esprit du texte qu’elle n’aurait sûrement pas été désavouée par Goldoni. En effet, le domestique est très vexé d’avoir été rabroué par un client, avec la morgue que montre parfois la noblesse en titre,donneuse de leçon, alors il en rajoute,en remet une couche, exagère … de manière ironique et mordante. C’est que la condescendance dont font usage ceux que Molière et d’autres appellent “des fats” (mot rare que l’on doit prononcer : [fat], selon l’alphabet phonétique international) vous fait parfois sortir de vos gonds ! Merci à Cocotte pour son travail “de romain” concernant le montage, et à Julie et Christine qui lui ont apporté leur aide. Et merci à tous les copains de notre équipe de théâtreux amateurs !

  44. Merci Mathias pour votre appréciation. Le compositeur est Maurice Ravel et le pianiste Samson François interprète ici des extraits du “Tombeau de Couperin” et de “Gaspard de la Nuit”

  45. Merci pour votre appréciation, Shmuel, et veuillez excuser mon retard à vous répondre. Bien amicalement,
    ALAIN D.

  46. Merci, Colin et Simon, pour vos appréciations élogieuses. Aborder les sciences naturelles sous la conduite de JH Fabre, et par l’intermédiaire de sa plume alerte, est aussi pour moi un vrai régal ! Nous le retrouverons prochainement, avec son étude du scarabée sacré.

  47. Merci à vous, Jan,Esperiidae,Gaumondie et Sylvie pour vos propos très encourageants. J’ai découvert cette nouvelle par hasard, en fouinant dans ma bibliothèque à la recherche d’un autre texte. Après avoir lu quelques lignes, j’ai été happé ! Dans sa forme, ce texte est un cas d’école. Par ailleurs, il aborde avec subtilité des questions liées au handicap (surtout au handicap mental), à la folie, à l’enfermement sous toutes ses formes, aux rapports entre le médecin et son patient, à l’amour, à la sincérité et à la fidélité, au mariage … Et avec quel style !

  48. Merci, cher Daniel, pour votre appréciation si encourageante. D’autres lectures sont prévues sous peu. Cordialement,
    A.D.

  49. Merci, Plume, pour cette très belle lecture et pour votre traduction qui est une aide précieuse pour mieux apprécier ce beau texte plein d’humanité.

  50. Merci Thierry. J’étais assez surpris que ce poème, majeur selon moi pour la connaissance de Rimbaud, ne figure pas encore sur le site.

  51. Merci à vous, Shmuel R, Ahicar, et Jeannedelaville, pour vos appréciations si encourageantes. Je suis tout à fait d’accord avec Ahicar concernant la popularité et même le culte des “grands hommes”, et je considère que le génie est beaucoup moins important que ce à quoi il s’applique, que les objectifs qu’il vise et que les moyens qu’il utilise pour s’exprimer.C’est le génie littéraire de Balzac que j’ai eu plaisir à faire connaître et partager à travers cette lecture.

  52. Merci Ahicar. Je suis ravi d’avoir été, l’espace d’un moment, une pâtisserie aux vertus évocatrices d’un passé heureux pour vous. Je suis retourné au bord de ce fleuve magnifique cet été, et je le trouve toujours nimbé d’une aura magique. J’ai la chance d’habiter à proximité des sources de certains de ses affluents, de son berceau en quelque sorte, et peut-être des fées (ou “fades”) qui s’y penchent !

  53. Je vous remercie, Madame la Présidente, pour vos propos si encourageants et bienveillants. Maurice Rollinat ne figurait jusqu’à présent sur notre site qu’en qualité de traducteur d’Edgar A. Poe (ce qui est déjà une excellente chose). J’espère que ma lecture aura humblement contribué à mieux le faire connaître et à donner aux auditeurs l’envie de fréquenter son oeuvre. Votre commentaire m’aura permis également de visiter votre propre site et celui de l’Association que vous présidez, qui méritent tous deux le détour. Vous renouvelant mes remerciements, je vous adresse tous mes voeux pour le rayonnement de votre association et celui de votre oeuvre personnelle.

  54. Merci René et Jeanne. Je n’ai absolument pas peiné mais ai pris beaucoup de plaisir à lire ce poème plein d’une verve ravigotante !
    Amitiés à vous deux.

  55. Merci Bationo, je suis ravi que cette petite sélection vous ait plu. Pour la musique, on essaiera, un jour prochain, de concocter une version 2 avec accompagnement musical.

  56. Merci à toutes les trois pour ces compliments. Je suis ravi que ces textes vous aient plu.
    Bien cordialement,
    ALAIN D.

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