Un conte de l’auteur écossais d’Ivanhoé et de Quentin Durward suivi d’une ballade, tous deux peu connus…
Les Aventures de Martin Waldeck ont pour cadre la forêt du Harz : « Les solitudes de la forêt du Harz, en Allemagne, mais surtout les montagnes nommées Blockberg ou plutôt Brockenberg, sont le théâtre des contes de sorcières, des démons et des apparitions. Le genre de vie des habitants, qui sont mineurs ou bûcherons, les rend très enclins à la superstition, et ils attribuent souvent à la magie les phénomènes naturels dont ils sont témoins dans leurs occupations solitaires, ou dans leurs travaux souterrains. » La moralité du conte est dans les dernières lignes : « Les aventures de Martin Waldeck sont un exemple des maux qui sont la suite des richesses promptement acquises et mal employées. »
Dans le paragraphe qui précède la ballade Le Roi du feu, Walter Scott, épris de vérité historique, justifie ainsi l’apostasie du comte Albert : « “On lit dans les Annales des croisades qu’un chevalier du Temple, appelé Saint-Alban, passa du côté des Sarrasins et défit les chrétiens dans plusieurs batailles, jusqu’à ce qu’il périt lui-même sous les murs de Jérusalem de la main de Baudouin. »
Consulter les versions texte de ce livre audio : Les Aventures de Martin Waldeck ; Le Roi du feu.
Merci M. Depasse.