La pente du crime est savonneuse… Une fois que le pied a dérapé, il est facile de se laisser glisser jusqu’aux plus obscures abominations.
Ainsi, après sa découverte du sordide monde de la finance, Jeff Peters, loin de retrouver la voie de la justice, de l’équité et de la morale, va-t-il s’enfoncer toujours plus loin dans l’enfer du grand banditisme. Un exemple parfaitement déplorable pour la jeunesse.
A peine pourra-ton, pour sa défense, évoquer l’exemple lamentable de l’actualité. Car Jeff Peters est un homme de son temps, qui lit les gazette, et subit l’influence néfaste des média.
Aussi, il est fort regrettable, mais somme toute logique, que Jeff Peters se laisse, lui aussi, tenter par les sirènes de la rentable activité à la mode chez les crapules sans foi ni loi : la prise d’otage.
Une autre fable édifiante sur les ravages de l’alcool et l’influence calamiteuse de la presse et de la politique internationale.
Traduction : F.R.
Voleur et policier.
Radiotimes, Yodellers and Fellators (licence By-Nc-3.0).
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