La sagesse épicurienne (le souverain bien est dans le plaisir) proposée par Lucrèce face à la sagesse stoicienne (atteindre celle-ci par l’absence de passions) prônée par Sénèque.
« Il est doux de contempler du rivage les efforts des nochers [sic] tourmentés par les vents furieux, sur le vaste gouffre des mers. Non que leur infortune ait pour nous des charmes; mais il est doux d’être affranchi de leur effroi douloureux. […]
Mais quel spectacle délicieux est réservé au sage qui, du temple serein de la philosophie, voit les mortels égarés dans les chemins de la vie, s’arracher de vains droits, […] et consumer les jours et les nuits dans des combats honteux pour s’élever à
l’opulence et aux grandeurs ! »
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