« Lorsque l’homme, redoutable prédateur, continue dans son inexorable cruauté, le poète pleure ses mots… » Deux enfants ne dénonce pas, c’est un simple constat. Pendant que les hommes se divertissent au jeu des armes, les enfants jouent en sourdine…
Homme se veut prémonitoire. Voici ma vision du futur. Je sais, d’aucuns pourront me reprocher cette manière apocalyptique d’appréhender le monde qui m’entoure. Je n’ai qu’un souhait : me tromper…
Le chemin des étoiles est un doux rêve, tout en douceur. N’hésitez pas, dirigez-vous vers ce chemin… et suivez les étoiles…
Avoir une femme est un hymne à nos compagnes, une déclaration d’amour à celle qui m’accompagne depuis… un certain temps.
À l’ombre de nos cœurs est de la même veine, lorsqu’on aime il faut le dire, l’écrire, le chanter, le crier… L’amour est une maladie dont il est le remède…
Je vous souhaite un bon voyage dans ces rimes à deux voix. Grand merci, Cocotte, d’avoir prêté la vôtre…
Photographie personnelle de l’auteur.
Deux enfants :
Enzo Carlino, The lighthouse at the end of the world, extrait de l’album No one dies of love (licence Cc-By-Nc-Sa-3.0).
Homme :
Enzo Carlino, Just an old 8mm film, extrait de l’album No one dies of love (licence Cc-By-Nc-Sa-3.0).
Le Chemin des étoiles :
Karim Amari, L’Oiseau, extrait de l’album Shruti (licence Cc-By-Nc-Sa-3.0).
Avoir une femme :
Enzo Carlino, Aurora Borealis, extrait de l’album No one dies of love (licence Cc-By-Nc-Sa-3.0).
À l’ombre de nos cœurs :
Al Soloviev, Covers in the fog, extrait de l’album Piano days Piano nights (licence Cc-By-Sa-3.0).
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