« Mère n’est plus ; l’enfance est morte
Et moi, je suis toujours vivant ;
(…)
Mon idole unique, ma mère,
Reconnais-tu cet orphelin ? ».
Poème extrait du recueil ‘La Blessure des Mots’,
publié par l’auteur en 2004 aux Presses de Valmy
et enregistré avec l’aimable permission du poète.
« Vos poèmes sont très beaux.
Ils sont soulevés d’un grand souffle qui vient du fond de l’âme ».
Paul Guth, 1982.
Illustration :
Henri François Riesener,
Une jeune mère et son fils accoudés sur un entablement.
Galerie Alexis Bordes.
Ambiance musicale :
Extraits du 2e mouvement de la Sonate pour violoncelle Op. 6
de Samuel Barber,
avec le violoncelliste John Michel
et la pianiste Lisa Bergman.
Sous licence CC BY-SA 3.0.
Henri-François Riesener, Portrait d’une jeune mère et de son fils (1810).
j’adore ce poeme…j’adore!
Merci pour votre merci.
Bien amicalement.
Thierry CABOT
Merci !!!!!!!!!!!!!!!!!!!