Voici, après Isabelle d’Égypte, le deuxième Conte bizarre, traduit par le fils de Théophile Gautier, de Karl Joachim Friedrich Ludwig von Arnim (1781-1831). Un peu d’occultisme, là aussi, et surtout la sinistre évocation des violences de la Révolution Française à l’égard de la noblesse, vues par un écrivain romantique allemand.
« Deux mois après, dans la cathédrale de Marseille, devant une foule immense, elle fut baptisée avec solennité sous les noms de Melück Marie Blainville ; le premier, venant de son origine arabe ; le second, de la sainte Mère de Dieu, à laquelle elle devait se recommander chaque jour ; le troisième était celui de son confesseur, qui lui avait prodigué tous les soins spirituels. »
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