Un texte plutôt gai et insouciant écrit par Dostoïevski emprisonné qui dédramatise sa dangereuse situation. Il se remémore des évènements de sa onzième année.
« Tout à coup ma poitrine s’agita, je sentis une douleur cuisante, comme si quelque arme aiguë m’eût transpercé de part en part, et des larmes, de douces larmes jaillirent de mes yeux. Je me couvris le visage de mes mains, et, tremblant comme un roseau, je m’abandonnai librement au premier sentiment, à la première révélation de mon cœur. Mon enfance venait de finir. »
Traduction : Élise Fetissov (1849).
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Livre audio gratuit ajouté le 14/02/2010.
merci et meme demande en ce qui concerne les possésés..
Découverte touchante que ce petit héros si délicat et toujours soucieux des conséquences de ses actes : bien plus gentleman que ses homologues plus âgés 😉
Cherchez bien Soumia!Vous trouverez LES PAUVRES GENS parmi les 16 romans et nouvelles de Dostoievski …et dans quelques jours LES FRERES KARAMAZOV.Cordialement
j’aime bien DOSTOÏVISKI notament votre licture,et,si voue pouvez nous lire”interpréter” les pauvres gens, et merci encore.
Merci monsieur Depasse,encore merci.
Si belle cette lecture, et si belle la votre interprétation! Merci beaucoup pour ces bons moments! A travers votre voix on voyages loin et il semble comme si on avais onze ans .. and on fut sur cet cheval avec toute les emotion de le petit héros de Dostoievski 🙂
excellente lecture!
j’adore Dostoievski. Peut-être un de ces jours, pourriez-vous nous lire/interpréter “Les Possédés” ou “Crime et Châtiment”?
encore une fois, un grand merci!