Il s’agit d’un journal écrit par le peintre Robert Helmont pendant la guerre de 1870. Le jour de la déclaration de guerre, il se casse la jambe et il est immobilisé pendant deux mois.
Il ne peut pas partir se battre, mais il se confine à l’Ermitage, sa maison de campagne, et il assiste à l’invasion, au pillage, et aussi aux actions de résistance à l’ennemi…
« J’arrête ici ce journal où j’ai essayé de faire tenir les impressions de mes cinq mois de solitude. Aujourd’hui, je suis revenu à Draveil. Les routes étaient pleines de paysans qui reviennent chez eux. Plusieurs se sont déjà remis à la terre.
Maintenant, tout se tait dans l’Ermitage. La nuit est claire, l’air très doux. Certainement le printemps est là, sous cette neige qui commence à fondre… Le pays meurtri répare ses forces, oubliant la récolte perdue pour préparer les moissons à venir. »
Désolé, mais pour être tt à fait honnête, je dois avouer que j ai trouvé cette lecture extrêmement monocorde, presque mécanique. Le texte s en trouve complètement aseptisé, on dirait un compte-rendu de réunion…
Je n’ose plus vous remercier ni même vous féliciter de crainte d’être trop lourd, cependant je le fais tout de même, vous êtes tant généreuse que vous méritez largement un compliment.
Cher Barbon
Un grand merci chaleureux pour votre amical message très encourageant.
Cela m’a fait très plaisir de vous retrouver, et je suis ravie que ce nouveau Daudet vous ait plu.
Très cordialement
Cocotte
Merci, Dame Cocotte fidèle au poste.