Il n’existe pas de datation, ni de l’écriture du dialogue, ni de la date de ce dernier. Le Second Hippias, traduit aussi par Hippias mineur est considéré comme une œuvre de (relative) jeunesse de Platon pour des raisons essentiellement stylistiques. (d’après Wikipédia)
Le texte qui traite du mensonge peut se réduire à deux propositions :
1° Au fond il n’y a pas de différence entre le menteur et l’homme sincère, celui qui sait la vérité sans la dire ne la sachant pas moins que celui qui la sait et la dit.
2° Le menteur, celui qui trompe sciemment et volontairement ses semblables, vaut mieux que celui qui les trompe involontairement et en se trompant lui-même ; car ce dernier est inférieur au premier en science et en volonté. D’où il suit que l’homme volontairement injuste, qui, connaissant le bien, prémédite le mal et l’accomplit, est meilleur que l’homme involontairement injuste, qui, faute de lumières prend le mal pour le bien et fait l’un pour l’autre. (d’après Wikisource)
Il existe une première version dans la traduction Chambry sous le nom Hippias Mineur. Elle est lue par Gauthier Manesse.
Merci de votre très aimable message.
Bonjour
Merci pour cette lecture ,c est toujours agréable de vous écouter ,même si c est delicat a comprendre.