Un Leblanc sans Lupin ! Selon le fils de l’auteur, Claude Leblanc, « De minuit à sept heures était un Arsène Lupin jusqu’à ce que d’obscures raisons éditoriales en décident autrement ». Il a été délupinisé.
De minuit à sept heures, une jeune fille de bonne famille, indépendante et moderne, s’est engagée, plus ou moins volontairement, à recevoir chez elle un mystérieux et généreux donateur à une tombola qu’elle avait organisée. Ce serait évidemment un scandale, et nombreux sont ceux qui vont s’opposer à ce qu’elle tienne sa promesse.
Maurice Leblanc, De minuit à sept heures, paru dans Le Journal, 1931.
Frédéric Chopin, Piano Concerto no. 1 in E minor, Op. 11 – III. Rondo – Vivace (String Quintet arr.), interprété par Zuzana Šimurdová (domaine public).
Bonjour, Hélène. Je découvre votre commentaire à l’instant: votre enthousiasme me fait un bien grand plaisir. Je vous remercie chaleureusement.
Bonjour Pomme, Il y a bien longtemps que je n’étais revenue à l’écoute de lectures.
Je vous avais tellement appréciée comme porte-voix de divers auteurs.
Et je vous retrouve, de minuit à sept heures, toujours avec le même bonheur de vous entendre.
De minuit à sept heures, une nuit de plaisir pour moi.
Je voulais une fois encore vous en dire merci.
Hélène Jarlier
Oh la la, Odette! Vous me donnez le vertige!!! De là-haut où vous me situez entendrez-vous mon chaleureux merci?
Bonjour Pomme, vous avez droit à toute mon admiration, vous êtes une authentique lectrice. J’ai l’habitude d’écouter Audiolib car j’aime beaucoup la voix de plusieurs, mais pas tous. Vous les surpassez à un tres haut niveau… Je vais écouter tous les livres que vous avez lu, avec un grand bonheur et beaucoup de plaisir. Encore une fois toutes mes félicitations. Vos émotions sont belles à entendre.
Merci pour ce gros compliment, Michel.