Elizabeth découvre ainsi, avec consternation, que Jane, pourtant irréprochable elle-même, a fait les frais de la vulgarité de sa mère et de ses jeunes sœurs et qu’elle-même s’est laissée aveugler par sa vanité blessée. À la lumière de ces révélations, elle est forcée de revoir son opinion, et ses sentiments pour Darcy. Mais ces confidences, qu’elle ne peut pas entièrement partager avec Jane, pèsent sur son moral. Et elle ne peut pas davantage expliquer à son père pourquoi il lui paraît si peu judicieux que Lydie accompagne le régiment dans ses quartiers d’été à Brighton. Néanmoins elle se réjouit de faire un voyage au cours de l’été avec son oncle et sa tante Gardiner dans le Derbyshire et se laisse convaincre par sa tante de se rendre à Pemberley.
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Sir George Hayter, Portrait d’une mère et ses quatre filles (XIXe siècle).
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