Cette nouvelle espagnole, dont la duchesse d’Abrantès nous affirme la véracité, est tirée du recueil Histoires contemporaines paru en 1832.
Le début : « Le soleil couchant dorait de ses derniers feux les remparts de la ville d’Alger, lorsqu’une troupe de soldats barbaresques sortit en bon ordre par la porte qui conduit à Bélida… Au milieu d’eux, marchait un jeune homme d’une figure remarquablement belle, malgré l’abattement qui l’accablait en ce moment, et qu’on s’expliquait facilement en voyant les mains du jeune homme fortement attachées par des cordes qui lui coupaient la chair, et le bourreau marcher près de lui avec tous les instruments de l’horrible supplice du pal… »
Francisco de Goya, Brigand assassinant une femme (1798-1800).
C’est une histoire terrible, fabrice, en effet. J’ai aimé découvrir les écrits de cette auteure, j’en ai d’autres en prévision. Je me régale d’avance !
monsieur
quelle folie cette histoire surtout si comme elle le pretend EST vraie.
je ne puis l enlever de ma tete.
quel diable dans un corps d ange
merci pour m.avoir fait devouvrir vette femme
j ecoute de ce pas les autres
cordialement
ps les guimauves sont en route