Un excellent roman, un peu policier et un peu d’espionnage, par un des précurseurs du genre, où l’on retrouve un ton moins sarcastique mais toujours assez ironique.
Un jeune professeur de français est engagé par l’ambassade d’un petit pays européen pour traduire et informer le gouvernement des nouvelles de son pays. Aussitôt, il rencontre le chancelier, le roi et les personnages importants de ce petit état. Ses sympathies et les événements vont le mettre au courant de bien des secrets. Et bien vite, il en sait trop…
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto No. 7 pour trois pianos et orchestre en Fa majeur, K242: II. Adagio, interprété par Gaby Casadesus et l’Orchestre de Philadelphie, dirigés par Eugene Ormandy (1961, domaine public).
Merci, Luc, pour votre charmant commentaire. Je suis ravie pour vous.
j’aime beaucoup votre voix, votre intonation. vous lisez très agréablement. merci.
En effet, Tristan Bernard a une écriture souvent très ironique, il n’hésite pas à se moquer de ses personnages, ce qui donne à ses histoires, bien qu’elles touchent au drame parfois, ce ton très plaisant. Je suis bien heureuse que oreilles attentives aient su apprécier.
après zola, le choix pour les oreillesattentives n’était pas facile, tant elles ont été bercées par le style remarquable de cet auteur…
mais avec la voix familière de Pomme,les oreillesattentives ont retrouvé ce timbre qui leur est cher !…
et bien je ne connaissais que de nom ce Tristan Bernard et ce roman-ci est assez amusant, on ne s’ennuie pas ..
merci pour cette découverte et à bientôt
Un grand merci pour votre lecture toujours aussi talentueuse.