Cette exquise nouvelle d’amour a été publiée dans La Revue des deux mondes en 1856 et fait partie du recueil Les Femmes honnêtes édité en 1858.
« Au détour d’une allée, j’aperçus sur un banc une jeune fille, qui me parut jolie, en compagnie d’une vieille dame. Comme je la regardais, la jeune fille sourit et me fit un petit salut de la tête. Je jetai les yeux machinalement derrière moi pour voir si ce salut ne s’adressait pas à quelqu’un que je ne voyais pas. Il n’y avait personne dans le parc. À quelques pas de là, je me retournai. La jeune Allemande s’était levée et s’éloignait ; en s’en allant, elle me sourit de nouveau et me fit de la main un léger signe d’adieu. »
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Madeleine Lemaire, Une jeune beauté.
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