Le traducteur Serge Perski présente ainsi les contes de Gorki :
« Maxime Gorki s’était surtout fait connaître jusqu’ici comme l’incomparable évocateur de la steppe, de la vie des vagabonds et de cette trouble époque que fut la révolution russe.
Après quelques années passées à Capri, il nous donne aujourd’hui des pages uniquement inspirées de cette terre italienne où le proscrit a trouvé un asile et l’écrivain le repos.
[…] Parfois, – dans quelques-uns de ces contes, – transparaissent les tendances fondamentales du romancier, son amour de la justice et de la liberté, son inébranlable foi en une régénération sociale. Mais ces pages sont, pour ainsi dire, noyées dans l’ensemble du livre, qui est avant tout un poème du soleil, de la lumière et de la couleur. »
Ajoutons que certains contes ne sont pas exempts d’une certaine intensité dramatique.
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Je vous remercie Pomme pour la lecture de ces petites nouvelles.
Certaines sont fortes et émouvantes. Gorki découvre le socialisme.
Fabien