Mémoires de Barry Lyndon, publié en 1844, est à la fois une autobiographie fictive et un roman picaresque, historique, satirique et d’aventures, de William Makepeace Thackeray. Moins connue que Vanity Fair (1848), cette œuvre s’inspire en grande partie de la vie d’un personnage réel, l’aventurier irlandais Andrew Robinson Stoney.
C’est, sous forme de mémoires, l’histoire de l’Irlandais Redmond Barry, qui prend le nom de Barry Lyndon après son mariage avec la comtesse Lyndon. Ses aventures se déroulent dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, sous le règne de Georges III. Le roman raconte la vie d’un « rogue », c’est-à-dire d’une canaille, imbu de lui-même, dénué de scrupules, vaniteux et vantard, prêt à tout jusqu’à la pire brutalité pour parvenir à ses fins.
Le film Barry Lyndon, de Stanley Kubrick, sorti en en 1975 et d’une grande beauté visuelle et musicale, fut un échec commercial dans les pays anglo-saxons, malgré de bonnes critiques (Wikipédia).
Jesse Harrison Whitehurst, William Makepeace Thackeray (1855).
@ LIAT
Chère LIAT … Bonjour !
C’ était hier , la nuit tombée , au moment de me coucher … de bonne heure !
C ‘ est ce matin … de bonne heure ( à quelle heure se levait le petit MARCEL ? Ah ?!
” Le vierge le vivace et le bel aujourd ‘ hui ” … Ce magnifique vers de MALLARMÉ par lequel j ‘ inaugure chaque jour nouveau … un jour nouveau , oui ! … et pas un nouveau jour !
Faites-moi une belle risette , comme je suis certain que vous savez les faire … et reprenons nos écoutes paisiblement . C ‘ est ici un lieu de convivialité et non un lieu d ‘ ” extension du domaine de la lutte ” ! La lutte fait rage partout, ne la transportons pas dans un havre de paix !
Désormais je m ‘ abstiendrai de tout commentaire de mes ” lectures ” . Je me bornerai à distribuer des petits coeurs quand mon coeur y sera … pour le reste … 2 singes sur les 3 célèbres ! J ‘ exclus celui qui se bouche les oreilles !
Avec mes amitiés ainsi qu ‘ à monsieur RANNOU … qui ne m ‘ en veut pas le moins du monde !
@ LIAT … Bonsoir !
La question que vous vous posez au sujet de mon intervention a une réponse on ne peut plus simple , chère LIAT.Il s ‘ agissait de passer de l ‘ abstrait au concret . Monsieur RANNOU a fait allusion à certaine personne et n ‘ ecoutant que votre bon coeur vous êtes accourue pour lui prodiguer des consolations dont il n ‘ avait peut-être pas besoin ! Lui seul le sait ! Cette personne n ‘ etant autre que bibi , il m ‘ a semblé opportun de venir faire les presentations et dire de quoi il retournait exactement .Si vous avez lu le commentaire en cause … auquel je vous ai renvoyée pour que vous puissiez parler en connaissance de cause , vous devez être édifiée !
Enfin … vous devriez l ‘ être ! Or ce ne semble pas être le cas ! Je vous invite donc à le relire et … à le comprendre ! Vous pourrez venir me dire après ce qu ‘ il avait de desobligeant pour monsieur RANNOU ! Vous avez dû y trouver , même … ou vous y trouverez … car je doute que vous l ‘ ayez lu ( peut-être faudrait-il vous en faire la lecture à haute voix !
@Sautillant
Je suis étonnée que vous vous intéressiez à mes propos:
je n’avais pas fait de recherches pour savoir qui avait fait
un reproche à monsieur Rannou !
Je m’adressais à lui personnellement.
Je crois qu’il est un homme sensible et généreux:
de ma part, il ne mérite que des éloges.
Ma première écoute fut “Middlemarch”, une très longue lecture que j’ai adorée. Puis est apparue “La petite Dorrit”…Un autre “marathon” de 18 heures, touchant récit encore lu magnifiquement.
Je crois, Sautillant, que les DDV de ce site
méritent toute notre reconnaissance puisqu’ils
nous offrent leur temps et leur talent bénévolement.
Il me paraîtrait tout à fait indiqué de transmettre les critiques “en privé” , c’est-à-dire en utilisant la messagerie du forum.
Cela éviterait de blesser publiquement les lecteurs.
«Le respect mutuel implique la discrétion et la réserve dans la tendresse même.» (Maurice Chapelan, 1947)
Je vous salue cordialement, Sautillant,
et vous souhaite une bonne semaine.
@ LIAT
Bonjour LIAT ! Je suis l ‘ affreux jojo qui a plongé André RANNOU dans les affres du doute de soi ! Mea culpa ! Rendez-vous sur la page ” Le tour d ‘ ecrou ” de Henry JAMES et vous pourrez y lire mon commentaire du 28 Juillet … vous devrez alors me rendre cette justice que mon propos etait des plus amicaux ! ( les appreciations negatives sur tel ou tel … je les garde pour moi … et pour l ‘ heure … un seul détenu mis au secret … il n ‘ en saura jamais rien !
Je suis décidément gâté ce dimanche matin, et merci aussi à vous, très chère Lïat, pour votre appréciation. Il est vrai que la lecture à haute voix demande une grande concentration.Je suppose que ceci est le cas pour tous les donneurs de voix.
Très amicales salutations.
Très cher monsieur Rannou,
Je viens appuyer les propos de Claryssandre car je ne saurais
mieux dire qu’elle.
S’il est vrai que vous ne lisez «que pour vous-même»,
c’est très compréhensible puisque toute la concentration
est orientée vers le texte. Ce doit être ainsi pour les autres DDV.
Vous êtes très gentille de me rassurer, chère Claryssandre, mais je n’en pense pas moins! Quelqu’un m’a récemment reproché de ne lire que pour moi-même, en oubliant ou en ignorant mes auditeurs. Je n’ y avais songé, mais il n’avait peut-être pas tout à fait tort! Avec ma fidèle amitié.
Vous êtes excessivement et injustement sévère envers vous-même cher monsieur Rannou ! Personnellement j’aime énormément votre timbre de voix et bien des mots peuvent être associés à vos lectures, mais certainement pas “monotonie”. L’insatisfaction est courante chez les perfectionnistes dont vous êtes assurément. Vous ne semblez pas réaliser le bonheur, la joie et l’apaisement que procurent vos nombreuses et longues lectures. Vous pouvez en être heureux et fier ! Personnellement, je vous en suis infiniment reconnaissante. Avec toute mon admiration et mon éternelle gratitude. Bien amicalement. Claryssandre