Voici le texte poétique numéro V, du recueil Poésies et œuvres morales.
Poésie datée de 1824.
Citation :
« Nommera-t-on inutile celui qui découvre et secoue les étincelles cachées de la vertu native, et qui ravive la chaleur caduque du souffle vital dans les poitrines malades et enrouées ? Depuis que Phébus pousse son triste char, les œuvres des mortels sont-elles autre chose qu’un jeu ? et la vérité est-elle moins vaine que le mensonge ? »
Une belle poésie pour l’Italie bien chère au cœur de cet auteur si sensible.
Traduction : Alphonse Aulard (1849-1928).
Consulter la version texte de ce livre audio.
Illustration :
Livre audio gratuit ajouté le 07/10/2017.
Chère Alessandra, je suis extrêmement touchée. Je vous remercie infiniment.
Tres belle journée à vous, et toutes mes pensées bien amicales.
Christiane-Jehanne.
Bonjour,
Grand merci pour cette très belle lecture d’un poème aussi beau d’un Giacomo Leopardi toujours aussi profond par une italienne 🙂
Très belle journée à tous et grand merci,
Alessandra
Bonsoir, cher Mart, je suis bien ravie que ce poème vous intéresse.
Amitiés,
Jolie poème 🙂