Henri de Régnier est aussi l’auteur d’Esquisses vénitiennes dédié à 25 amis et qui sont des bijoux de poèmes en prose.
« N’est-ce pas, en effet, ici un lieu étrange par sa singulière beauté ? Son nom seul provoque l’esprit à des idées de volupté et de mélancolie. Dites : « Venise », et vous croirez entendre comme du verre qui se brise sous le silence de la lune… « Venise », et c’est comme une étoffe de soie qui se déchire dans un rayon de soleil… « Venise », et toutes les couleurs se confondent en une changeante transparence. N’est-ce pas un lieu de sortilège, de magie et d’illusion ? »
Nous vous en proposons une petite sélection et pensons faire plaisir aux amoureux de la poésie et aux « amants de Venise » en leur offrant cette liste (qui contient quelques « illégaux » récents interdits à une lecture publique et aussi des livres ici enregistrés).
Liste non exhaustive :
– Jour de pluie à Venise (Ninon Jacquet)
– Mort à venise (Jean-Paul Labaisse d’après Thomas Mann)
– L’Entrevue – Audiolivre (Henri de Régnier – tirée des Contes Vénitiens)
– Dernier jour à Venise (Ninon Jacquet)
– La Mort à Venise (Ninon Jacquet)
– Le Jeu des dames mortes (Philippe Bastin et Italo Locchi)
– Mort à Venise ? (Gérard Cotton)
– Les Roses de Venise (Gérard Coton)
– Ô ma jolie Vénitienne (Gérard Cotton)
– Par delà (Gérard Cotton)
– Carnaval à Venise (Gérard Cotton)
– Venise (Yves Dutheil)
– Toreador (Jean Cocteau)
– Où vit-on des danseurs… (Jean Cocteau)
– Venise de Philippe Deschamp
– Scaramouche – Audiolibro (Arthur de Gobineau)
– Les Amants de Venise (Jacques Plante – Marguerite Monnot)
– Elle voulait qu’on l’appelle Venise (Étienne Roda-Gil – Julien Clerc)
– Venise n’est pas en Italie (Claude Lemesle – Serge Reggiani)
– La Mort de Venise (Maurice Barrès)
– Le Carnaval – Audiolivre (Théophile Gautier)
– Les Complaintes de Jules Laforgue
– Souvenirs de Venise (la zucca) (Alfred de Musset)
– Venise – Audiolivre (Alfred de Musset)
– À mon frère revenant d’Italie – Audiolivre (Alfred de Musset)
– Mascarades (Théodore de Banville)
Marco Grubacs, Le Grand Canal (1894).
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