Mon oncle et mon curé est un roman français de Jean de La Brète, pseudonyme d’Alice Cherbonnel (1858-1945), paru pour la première fois en 1889 chez Madame-Plon-Nourrit et Cie, Paris.
Il a été couronné par l’Académie française (Prix Montyon) en 1889 et a connu un succès de librairie d’ampleur exceptionnelle. Régulièrement réédité jusqu’en 1977, il a été adapté au théâtre puis sur le grand écran en 1938.
Lucie Félix-Faure-Goyau écrit : « Ce joli roman est une fleur de France. Un reflet de notre soleil luit dans l’éclat de sa fine gaîté ».
Cette œuvre sans prétention qui relate d’une plume légère une histoire simple et fraîche, regorge de joutes oratoires, de traits d’esprit et d’humour spirituel par le biais du personnage de Reine.
Au Buisson, nom de la propriété de campagne de son défunt oncle, vit Reine de Lavalle, une orpheline de seize ans. Jolie jeune fille de bonne famille pétillante et espiègle, elle a été élevée par Mme de Laval, une tante par alliance despotique qui la garde intentionnellement dans le plus grand isolement. Son seul et unique ami est le vieux curé de la paroisse, qui est également son précepteur et son conseiller, et qui aime Reine comme sa propre fille.
Un orage fait venir au Buisson un cousin non connu de Reine, Paul de Conprat, venu s’abriter de la pluie. Reine s’éprend aussitôt du jeune homme.
(Wikipédia)
Couverture d’une ancienne édition du livre.
Chère Claudia
Je voudrais vous remercier deux fois, la première pour votre message, qui m’a beaucoup touchée et dont je voous remercie de tout mon cœur, la seconde pour m’avoir permis de trouver le commentaire d’Oreilles attentives, des années plus tard. J’ai pu, enfin, lui présenter mes excuses. Et grâce à vous!
“Mon oncle et mon curé” est le roman le plus connu et, de l’avis de beaucoup, le meilleur de Jean de la Brète.
Je suis heureuse que vous l’ayez aimé, et que vous ayez pris la peine de me dire votre satisfaction. C’est vraiment un encouragement pour moi!
Amitiés
Cocotte