Cette fois, Shmuel nous propose une scène de salon qui met en scène les grandes figures musicales et littéraires des années 1830. Le dénouement, pour aussi farfelu qu’il paraisse, sera pourtant bien réel…
Petite précision : Tytus, un exilé polonais, que Balzac appelle Typhus dans cette histoire, a vraiment existé.
Un chaleureux merci à Christophe Ménager qui interprète le prélude n°15 de Chopin.
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Illustration :
Hendrik Siemiradzki, Chopin jouant du piano dans le salon du prince Radziwill (1887).
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Livre audio gratuit ajouté le 13/03/2016.
Merci à Cocotte, à Christophe et à tous ceux qui ont aimé cette petite histoire. Mes excuses à Rossini si je l’ai un peu trop rossé. Pour ceux qui n’auraient pas compris, “l’autre chienne”, pour l’Autrichienne, était le sobriquet que les Parisiens avaient donné à Marie-Antoinette, laquelle s’excuse de n’avoir pu participer à la soirée à l’Hôtel Lambert. Elle perd la tête, la pauvre.
Cher Colin laissez le temps courir et prenez le temps de rire un coup