Deux dialogues sur le même sujet : l’amour épidermique, sensuel, physique (appelez ça comme vous voudrez !), l’un entre deux jeunes femmes mariées, Joseph, et l’autre entre une jeune femme et son mari, Imprudence. Très allusifs, un tantinet coquins, mais jamais grossiers.
« – Songe donc que c’est impossible autrement. Quand un mari a été gentil pendant six mois, ou un an, ou deux ans, il devient forcément une brute, oui, une vraie brute… Il ne se gêne plus pour rien, il se montre tel qu’il est, il fait des scènes pour les notes, pour toutes les notes. On ne peut pas aimer quelqu’un avec qui on vit toujours. » (Joseph)
« – Parce que, une femme, c’est une liaison, c’est un amour qui vous attache à elle, tandis que cent femmes c’est de la saleté, de l’inconduite. Je ne comprends pas comment un homme peut se frotter à toutes ces filles qui sont sales. » (Imprudence).
Consulter les versions texte de ce livre audio : Joseph ; Imprudence.
Excellent ! elisabeth