Le Ministère public : « […] M. Desalleux, siégeant en son tribunal, demandait sur quelques indices assez insignifiants la tête de Pierre Leroux accusé d’un meurtre, et Pierre Leroux défendait sa tête contre les empressements de M. Desalleux ».
Sara la danseuse : « […] Aussitôt que l’âme de Sara se fut séparée de son corps, elle commença à s’avancer à travers des régions infinies et solitaires où elle eut peur de sa solitude.
A la fin elle arriva devant son juge, qu’elle n’osa jamais contempler face à face, et son jugement commença ».
L’« après-mort » apparaît dans ces deux contes avec le fantôme d’un guillotiné et le jugement dernier d’une danseuse.
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Illustration :
Louis Boulanger, portrait d’Honoré de Balzac (1836)
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Livre audio gratuit ajouté le 08/05/2009.
Merci M Depasse
Bonjour à vous
Il ne s’agit pas de pillage de la part de H. de Balzac. Seul le site offrant le texte en référence est en cause. Ainsi si, vous allez sur Wikisource, vous y trouverez tous les détails nécessaires, et chacun des contes est attribué à son auteur…Même si, c’est Charles Rabou qui a terminé certains textes de Balzac, ce dernier ne s’est pas aprroprié ceux-là…
Bien à vous
Sophie
Sophie
Bonjour André Tout à fait d’accord avec vous .Ce genre de pillages n’est pas joli,joli..Comme LA CHEVRE DE MONSIEUR SEGUIN
qui n’est pas de Daudet! Un article de Bouteron
Eclaire bien les emprunts de Balzac Merci de
rétablir la vérité
Seulement pour signaler que les contes bruns que vous avez mis sur votre site ne sont pas de Balzac, mais de Charles Rabou et Philarète Chasles; Balzac n’ayant composé que le premier et le dernier conte du recueil.