Instituteur de métier, Ernest Pérochon (1885-1942) devint romancier peu de temps avant la Grande Guerre de 14-18. L’attribution du Prix Goncourt à son roman paysan Nêne en 1920 lui acquit une célébrité nationale voire internationale compte tenu de la multiplication des rééditions surtout dans l’entre-deux guerres. Resté attaché à sa région où il fixa sa résidence à Niort, il devint l’auteur de nombreux romans qui développent un message à la fois humaniste et pessimiste. Ernest Pérochon a écrit aussi plusieurs livres de lecture pour les enfants.
Les Contes des Cent un Matins constituent un recueil de contes, publié en 1930 et qui, par la suite, a fait l’objet de plusieurs rééditions et a servi de manuel de lecture pour les cours élémentaire et moyen.
– Le Petit Poisson vagabond,
– La Maladie des doigts écartés,
– Le Lapon dans la marmite,
– Les Reines de la montagne,
– Ouistiti 1er.
Merci beaucoup à Isabelle pour l’illustration d’un de ces contes.
Merci, chère Minou.
Je suis heureuse que ma petite chanson sans prétention vous ait fait rire : c’était là son but!
Rassurez-vous, ce n’est pas avec cette chanson que je me présenterai au concours du Conservatoire, ou à celui de la Scala de Milan!
A bientôt, j’espère!
Amitiés
Cocotte
Merci j ai bien aimé ces contes et bien rit avec cette petite chanson .merci minou
Merci beaucoup, chère Marthe, pour votre aimable commentaire et votre fidélité.
J’espère que ces contes plairont aux jeunes enfants que vous aimez tant! Ils me rappellent ma jeunesse. C’étaient mes premières lectures, ou presque!
Amitiés
Cocotte
Un régal que de vous écouter lire ces charmants contes ! Merci, chère Cocotte, pour toutes les lectures que vous nous offrez.