La nouvelle Arsène Guillot fut publiée en 1844, juste après l’admission de Mérimée à l’Académie française et quatre ans après Colomba (thème semblable de la vengeance).
Arsène est une jeune et jolie femme qui a mené une vie de courtisane et meurt en proie à un vif repentir. Née dans la misère, elle tente de se suicider mais c’est par vengeance, et non par amour, qu’elle a voulu se tuer à cause d’un homme. « Et puis, je me suis dit que si je me détruisais, ça lui ferait de la peine et que je me vengerais… La fenêtre était ouverte, et je me suis jetée… »
Le trio madame de Piennes, riche dame dévote et sermonneuse, Max de Salligny, libertin assagi, et la jeune Arsène fait songer au roman d’amour La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette qui se déroule près de trois cents ans plus tôt.
Dommage que ce soit censuré. On ne comprend plus rien.
Faut tout supprimer sinon on pourrait croire qu’il y a eu une critique!
@ agnes83
Chère Madame,
Ne sentez-vous que vous même n’êtes pas très aimable vis-à-vis de M. Depasse ?
J’aimerai beaucoup savoir ce qui vous autorise à dicter aux autres ce qui convient et ce qui ne convient pas…
Les vieux adages ont ceci de bons c’est qu’en peu de mots ils vous indiquent l’essentiel, celui que vous citez devrait vous conduire à plus d’urbanité.
Et comme le souligne Colin “il y a toujours des gens…”
Pourtant ce que l’on reçoit sans que cela ne coûte rien est un don suffisamment rare et remarquable pour être apprécié !!!
Bonjour,
Il y a toujours des gens pour vous dire ce qu’il faut faire cela n’ a pas changé malgré les époques .