« Ce bruissement d’âme, si peu de chose,
Étincelle dans le temps et l’espace,
La vie, qui naît et meurt à peine éclose,
Sent de l’éternelle beauté la grâce.
Elle a remarqué en son sein, la trace
D’un souffle intemporel qui se propose,
Qui l’appelle et doucement l’enlace,
Ce bruissement d’âme, si peu de chose. »
Dédié à tous les miens.
La Vie, ce bruissement d’âme :
Luigi Boccherini, Concerto N°9 G482b, interprété par Maurice Gendron et l’Orchestre des Concerts Lamoureux, dirigés par Pablo Casals (1958, domaine public).
Découragement :
Wolfgang Amadeus Mozart, Sonate No. 40 en Si bémol majeur, K454, interprétée par Arthur Grumiaux et Clara Haskil (1956, domaine public).
Comme le temps passe, Bonheur, Étoile du matin :
Georg Friedrich Haendel, Messie symphonie pastorale XIII partie 1, HWV 056-13, interprété par l’Orchestre Royal Philharmonique, dirigé par Thomas Beecham (1959, domaine public).
Merci :
Wolfgang Amadeus Mozart, Sonate N°24, K296-02, interprétée par Emil Guillels et Elizavetta Guillels (1950, domaine public).
Bonjour bonjour…
” Il est vareuse ! Il est vareuse ! … “…
( ” Le Sar Rabindranath Duval ” – Pierre DAC et Francis BLANCHE )…
Je dirais même… il est vaseux … 🙃…
Excellente remarque, cher Jean-Pierre 😉
Bonjour BRUISSEMENT…
Ne vous meprenez pas… je ne voulais pas dire que votre lecture me desagreait ! Je suis allé directement au texte écrit… ce qui est une façon indiscutablement perverse de pratiquer ” LA “…
Pour le reste… PNEUMA est un de mes maitres-mots ! L ‘ ESPRIT… qui souffle où il veut !
OÙ IL VEUT !!! C’ est enivrant !
À ce propos… à vous je peux le dire… ces derniers temps… je me replonge dans ” Le nouveau Testament ” … Cet … ENTHOUSIASME… dans le sens etymologique du mot… est… enthousiasmant !
Suis en train de lire aussi le livre de Jean-Christian PETITFILS… sorti il y a 6 mois… ” Le Saint Suaire de Turin “… Là aussi… Quelle histoire ! Longue histoire… parvenant enfin à une certitude… l ‘ authenticité de la relique… Ce dont je n’ ai jamais douté… Des ma première vision des photographies… mon coeur l ‘ a reconnu… Trop criante vérité !… que les media gardent sous le boisseau… C’ est comme ça… Viens de lire aussi… ” JESUS – l ‘ enquête ” de Jean STAUNE… intéressant pour sa première partie… une enquête erudite sur l’ attribution de l ‘ Evangile de Jean…
La seconde partie est plus sujette à caution…
Tout ça à la va-vite… le sujet est inépuisable… Il m’ a happé depuis mes 16-17 ans… ( je n ‘ ai reçu aucune education religieuse… ce qui m’ apparait un grand bien )…
Bien à vous…
Ps… @ LÏAT… ALLO à vous ! Pas plus tard que ce matin… les infos Google… m ‘ ont appris qu’ on se saluait ainsi au QUEBEC … Salut – valise pour l ‘ hawaio-quebecoise que vous êtes… ALLOHA ! 😛…
BRUISSEMENT… j ‘ ai oublié de vous dire… en réponse à ce que vous dites de votre approche…
Les mots… bruts… comme vous dites… me suffisent… dans la mesure où la poésie est là…
D’ une oreille interieure j ‘ entends… et cette voix… si je cherche à la faire paraître dehors… est toujours en deçà… Façon d’ apprehender proche du Silence… finalement…
De l ‘ âme pour l’ âme comme disait RIMBAUD…
Cher Sautillant, vous avez raison de poursuivre l’aventure de vos 16/17ans en lisant le NT notamment, on y fait de fabuleuses découvertes (toujours renouvelées assez étonnamment) dans le domaine qui vous tient à cœur, l’Esprit! Les paroles du Christ plus fascinantes même que son visage sur le suaire de Turin, propulsent vers des rivages d’infinies grandeurs.
Vous avez aussi raison de sonder les poésies à votre guise, puisque vous êtes, comme tout un chacun, parfaitement unique et donc sujet à des particularismes propres.
Cependant par pure envie de discuter un peu sur le sujet, je me permets les quelques remarques suivantes:
Les mots bruts se suffisent à eux-mêmes, je n’en disconviens pas: de l’âme pour l’âme disait Rimbaud comme vous le rappelez.
Je suis pourtant un peu éblouie par la capacité de la voix à s’épancher en nuances, autrement dit de faire vivre les mots… le son épouse l’idée, la parole accompagne le sens dans une harmonie fructueuse… et cela d’autant plus que le même cerveau conçoit l’un et l’autre… je veux dire que l’auteur du poème est plus à même d’en exprimer la teneur… Mais bon, ce n’est pas garanti non plus!
Bonjour chère Bruissement, vous écrivez à Sautillant : “vous êtes, comme tout un chacun, parfaitement unique”. Or, il me semble que Sautillant est plus unique que les autres !
Votre gentil message me va droit au cœur, bien chère Lïat! Merci beaucoup!
Chère Bruissement, j’avais le goût d’un «bruissement d’âme», alors je me suis fait plaisir
en écoutant votre douce voix lisant ce délicat poème . Merci ! 🌸
ALOHA… LÏAT
Brrr… sss… mmm…
Bonjour… BRUISSEMENT….
De bien jolis poèmes… que j ‘ ai lus… sans les écouter… c’ est ainsi que je reçois plus…
Pneumatiquement… la poésie…
Salutations à vous, SAUTILLANT !
Grand merci, cher Sautillant, pour votre aimable commentaire.
Votre façon d’appréhender la poésie est remarquable… je vois que vous cherchez à sonder au plus près le souffle poétique…
Mon approche pour en rendre la substance plus sensible, est d’ajouter aux mots bruts, les nuances vocales et quelques notes de musique.
Cela peut ne pas convenir, bien sûr, et je n’en n’apprécie pas moins votre sympathique intervention.