Ce poème est né d’une rencontre avec le célèbre chef-d’œuvre d’Alberto Giacometti, lors d’une exposition à Paris, en octobre 2011. Je croyais bien connaître cette sculpture, emblématique de la condition humaine. Mais le bonheur qui m’a été donné de la côtoyer, à hauteur d’homme, pendant de rayonnantes minutes, m’a permis de ressentir intensément la force insoupçonnée de son pouvoir magique.
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Références musicales :
Anton Dvorak, Symphonie N°9 en mi mineur, « Du Nouveau Monde », Opus 95, 2nd Mouvement Largo, interprétée par l’Orchestre Philharmonique Tchèque, dirigé par Karel Ancerl (1961, domaine public).
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Livre audio gratuit ajouté le 03/04/2013.
Oui Cher Alain Degandt , Giacometti est très touchant dans ses doutes et sa façon de travailler… j’ai aussi écouté vos chansons et vos autres poésies… je vous trouve inspiré… bien amicalement
Carole
Merci chère Carole pour votre commentaire si chaleureux. Cette oeuvre de Giacometti est une très forte et bouleversante représentation de notre condition humaine, de notre “être au monde”. Sculpture tant de fois remaniée, retravaillée, et dont l’artiste ne fut jamais complètement satisfait.
Bien cordialement,
ALAIN D.
Quelle merveille cher Alain de nous faire profiter de votre émotion ressentie au musée devant cette œuvre et aussi de la mettre en parallèle avec la Symphonie du Nouveau Monde. Solitude, effort, mouvement, ténacité, foi : j’ai entendu tout cela dans votre poème
Un grand merci, Pomme, pour cette excellente suggestion qui a tout de suite aiguillonné ma curiosité. J’ai immédiatement commencé à fouiner du côté de cette auteure que je ne connais pas du tout, hormis de nom (et ce, à ma grande honte !). Il serait intéressant, je pense, de confronter nos deux expériences. Merci encore. Bien cordialement,
ALAIN D.
Merci Pomme; je vais voir à la B.U. s’ils l’ont.
Je me permets de m’immiscer dans votre échange, Ibrahima et Alain, pour vous suggérer le superbe livre de Lydie Salvayre, où elle raconte sa nuit passée dans un musée, face à “L’Homme qui marche” de Giacometti,à qui elle voue un véritable amour. Le titre est “Marcher jusqu’au soir”.
Amitiés.
Pomme
Merci Ibrahima pour votre très encourageante appréciation. J’espère que votre “petit saut” plein d’entrain à Beaubourg aura répondu à votre attente et aura ainsi illuminé votre journée. Bien cordialement,
ALAIN D.
Très beau poème qui m’a donné envie de me replonger dans l’oeuvre de Giacometti. Et hop! un saut à Beaubourg! Voilà une journée qui promet d’être bien remplie!
Ibrahima, étudiant en master
Merci à vous, cher Shmuel. Je suis très honoré de cette évocation et de cette citation de Yéhuda Amichaï, qui se proclamait “fanatique de la paix” et qui cherchait à être “le poète de l’amour en temps de guerre”. Je connais peu de son oeuvre mais votre très amical message, qui n’est pas le premier du genre venant de vous, m’invite à en connaître bien davantage. Salut et fraternité,
ALAIN D.