Dans Le Moulin des prés les personnages vivent toujours dans une pureté morale exceptionnelle. Cette fois-ci le récit a pour théâtre la Saintonge où de belles pages vous attendent.
« À six kilomètres de la ville, le hameau de Saint-Christophe étage coquettement ses maisons à tuiles rouges tout au fond d’une herbeuse vallée, où le sifflet des locomotives n’a pas encore troublé le chant des coqs et le mugissement des bœufs.
Un cours d’eau rapide, affluent de la Charente, y fait vaillamment tourner le moulin à six paires de meules du père Guillaume, dit le Moulin-des-Prés, dans une fraîche presqu’île à la fourche des eaux. »
André Lemoyne (1822-1907), comme dans Une idylle normande, nous surprend par la conclusion de son roman.
Serait-elle sublime, inhumaine ou impossible, dans notre société contemporaine, la réaction finale du héros ? À vous de juger…
Cher Monsieur Depasse !
Vous êtes avec toute votre équipe les As des As !
Je Vous souhaite à tous une bonne année 2018 et de longues, très longues années encore à nous lire ces œuvres !
Je voudrais tout dévorer (avec mes oreilles) mais un fils indigne m’a refilé son chien, un toutou super gentil qui se comporte comme un gosse et qui réclame des câlins tout le temps. Comme je suis sans petits-enfants toute mon affection retombe sur lui et il me bouffe beaucoup de temps à ces moments où je pourrais écouter et écouter et écouter. Alors je tente d’initier mon chien mais il a besoin d’exercice. Je pensais bien écouter en marchant mais c’est qu’il faut le surveiller ce chien car c’est un explorateur. Enfin bref, il fallait que je raconte ma vie tout en Vous remerciant !
Longue Vie !
Patrick Jouannès
Encore ! M Dépasse …..
Merci M. Depasse.