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Le Cercle noir

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Thornton est en prison depuis quatre années. Il reçoit un plan d’évasion sur des boulettes de papier qu’il reçoit mystérieusement. Qui est cet ami inconnu ? Les messages sont peut-être destinés à un autre prisonnier qui occupait la cellule avant lui. N’importe, il profite de l’aubaine et parvient à s’évader. Avec quelques difficultés, il arrive dans la rue où l’attend une puissante auto qui démarre aussitôt. Quelques kilomètres plus loin, surprise : Mais vous n’êtes pas Jack! Qui êtes-vous?
Le récit continue, plein de rebondissements et nous tient en haleine jusqu’au dénouement, inattendu.

Traduction : Michel Epuy.

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Livre audio gratuit ajouté le 05/11/2024.

35 Commentaires

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  1. @ Bébert la Régie
    Lorsque les critiques sont positives, lorsqu’elles aident le DDV à s’améliorer, oui, elles sont les très bienvenues, surtout si elles sont courtoises, par exemple : lecture trop rapide, ou mot mal prononcé, etc. mais je les trouve inutiles lorsqu’elles dénigrent ce qu’il est impossible de changer, l’accent régional, défaut de langue, etc. Lorsque je reçois ces critiques, qui me font de la peine, ce rappel d’un défaut que ne ne peux pas corriger, malgré mes efforts, cela me fait mal, attriste ma journée et j’envisage même d’abandonner les enregistrements. Plusieurs collègues ont quitté L.A. pour une critique cruelle,
    Lorsqu’on me fait un cadeau, je ne dis jamais à celui qui me l’offre : “C’est laid, nul, inutile, de mauvais goût.”. Et lorsqu’un commerçant me déplaît, je ne remets plus les pieds chez lui, sans aller lui faire des critiques devant tous ses clients.
    Je crois m’être expliquée sur mon ressenti, non seulement sur mes critiques, mais sur celles de mes collègues.
    Vous ne m’écouterez plus, vous ne me commenterez plus, je respecte vos choix et vos opinions et vous souhaite d’écouter de belles lectures parfaites, ne provoquant chez vous aucun sentiment négatif.
    Cocotte

    1. Il y a eu 7 ans en aout, naissait mon chat Pardaillan! Je l’ai baptisé ainsi parce que je terminais l’écoute de la lecture de Cocotte de toute l’épopée alors qu’il était en cours de fabrication dans le ventre de sa maman. 7 ans après, cela est resté un magnifique souvenir que d’avoir écouter toutes ces heures passionnantes! C’est un chat espiègle, robuste et très affectueux. Merci à Cocotte pour son temps et son talent partagé! Ignorez les gens négatifs, Cocotte. Moi, j’adore votre accent!

      1. Chère Géraldine
        Un très très grand merci pour votre si encourageant commentaire. Votre mail est ma meilleure récompense. Et il arrive au meilleur moment! Félicitations pour mon filleul, le petit chat Pardaillan. C’est très gentil à vous et je suis très touchée de l’influence de cette lecture sur le nom de votre petit amour. Il doit être très beau et très affectueux, avec un nom pareil, et plein de vie aussi.Passez un excellent dimanche, avec le soleil revenu. Faites une douce caresse à Pardaillan de ma part, voulez-vous?
        Toutes mes amitiés.
        Cocotte

    2. Chère Cocotte. Il y a un témoignage supplémentaire que je voudrais ajouter à celui sur mon chat Pardaillan. Les mois qui ont précédés sa naissance, et où j’écoutais la lecture de cette épopée, j’étais alitée et trop fatiguée pour lire. Je m’étais débarrassée depuis longtemps de ma télévision que je considère comme un abrutisseur universel. Non seulement vous écouter a pour ainsi dire été mon unique source de joie pendant tout ce temps, mais vous avez même modifié certaines de mes références historiques. Par exemple, jusque là, la référence à Henry IV et la St Barthélémy me ramenait systématiquement au film de la Reine Margot et à Daniel Auteuil. De toute l’épopée des Pardaillan c’est tout l’épisode sur la Saint Barthélémy qui m’a laissé la plus forte impression. Parce qu’elle était magistralement écrite, bien entendu. Mais surtout parce que vous l’avez magistralement interprétée. Depuis lors, lorsque j’entends des références à cette période de l’histoire, à Henry IV, à Catherine de Médicis, mon univers mental me ramène à celui de Pardaillan et de son vieux père qui allait bientôt s’éteindre et que j’ai découvert grâce à vous.
      Je suis sûre qu’un jour, de l’autre côté du miroir, Michel Zévaco vous remerciera pour cela!
      Alors ne prêtez pas attention aux propos des esprits chagrins. Pensez à tous ceux à qui votre travail à fait tant de bien. Dans une France où désormais de moins en moins de gens savent lire et écrire sans faute, vous contribuez à la transmission d’un héritage culturel tellement précieux que tout le reste est sans importance.

      1. Chère Géraldine
        Grâce à votre beau commentaire trouvé ce matin, je vais avoir une journée pleine de soleil, malgré le froid. Votre amitié m’est précieuse et je vous remercie de tout mon cœur pour vos messages qui m’apportent beaucoup plus que vous ne croyez.
        Vous avez raison. Les romans de cape et d’épée, en plus des aventures des héros, apportent un précieux témoignage sur l’histoire de France. La Saint-Bathelemy, quelle honte pour Catherine de Médicis et quelle tache dans l’Histoire de France! Toutes ces personnes innocentes, ces enfants qui ne demandaient qu’à vivre, assassinés, ça me déchire le cœur.
        Enfin, heureusement que d’autres lectures, plus optimistes et amusantes, nous procurent des moments d’évasion, très appréciés.
        Toutes mes amitiés. Et une caresse à Pardaillan!
        Cocotte

  2. Mauvaise manip’. Mon dernier message, rédigée hier soir, est parti sans relecture.

    Il faut évidemment remplacer “Bonsoir par “Bonne journée”. Et puis, cette coyonnade est compréhensible, non ? Inutile d’en rajouter, d’autant plus que, après une nuit trop courte, je m’en vais recocouch’ panier.

    A bientôt.

  3. Bonsoir à vous, chers Sautillant matineux et Cocotte peut-être moins matineuse,

    Mâtin ! (Quel journal !)* Un deuxième kawa, oui, mais à quoi ? Avec une larmichette d’anisette “Del mono”. Et vous, gente dame, certaines intonations de vos lectures me laissent penser que vous ajouter du cognac ou de l’armagnac dans votre tasse de Malongo. (Malongo, parce que, à Paris, je passe souvent devant la boutique, rue Saint-André-des-Arts, pas loin du Christine Cinéma Club, le cinéma préféré de James Ellroy quand il est dans notre capitale, boutique qui, portes ouvertes, laisse filer ce si délicieux parfum.)

    *Les grands initiés gotlibéens comprendront.

    1. Bonjour, cher Parrain, Hic !
      Je suppose, hic !, que, comme Sautillant, vous savez arroser votre Malongo avec de bonnes choses… quoique l’anisette est moins appropriée que le cognac, à mon humble avis. Hic!
      Il y a une boutique Malongo pas loin de chez moi. Mais c’est du chocolat que j’y achète. Une tuerie!
      Je suppose que, entre deux kawas bien arrosés, vous avez aimé Le Cercle noir, oubli bien naturel, n’est-ce-pas? Hic ! Donc, je vous remercie pour votre aimable commentaire qui m’a fait très plaisir et qui m’a bien fait rire. ça fait du bien, une bonne rigolade le matin, pour commencer la journée de bonne humeur, n’est-ce pas ?
      Bon appétit et bonne re sieste après déjeuner.
      Un petit apéro d’amitié?
      Cocotte

  4. Bonjour, cher Sautillant
    Après avoir enregistré quelques pages de “L’âne mort et la femme décapitée”, je ne me sens pas à l’aise dans cette lecture et je me rends compte que je ne pourrai pas continuer. A regret, je me vois obligée de décliner votre suggestion. Bien cordialement.
    Cocotte

    1. Matinal… Bonjour… chère COCOTTE…
      Oui… je vous comprends… c ‘ est un texte… plein d’ aspérités… Bien singulier…
      Vous avez… mille fois raison… de ne pas insister !… si le coeur n ‘ y est pas…
      Debout depuis 5h… Pas encore assimilé… l ‘ heure d’ hiver… Je file à un deuxième café…
      Belle journée à vous… et à une autre fois…

      1. Cher Sautillant.
        Merci beaucoup pour votre compréhension. Oui, c’est un texte bien singulier et je craignais de ne pas le rendre assez bien. Wouah! Debout à 5h ! Quand il fera plus froid, vous préfèrerez rester bien au chaud dans votre lit douillet! Bon café! A une autre fois, avec plaisir. Amicalement. Cocotte

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