La Légende de l’éléphant blanc raconte l’odyssée d’un éléphant sacré de Gâdama-Bouddhâ depuis l’Asie jusqu’au jardin zoologique de Londres. Le ton est plein d’humour.
« L’on sait qu’en Birmanie, les éléphants privés ou sauvages, sont la propriété de l’empereur, qui les réquisitionne en temps de guerre. Il est de coutume inviolable que ce monarque possède un éléphant, d’une blancheur idéale, auquel il donne un palais, des officiers et le revenu d’un district territorial affecté à l’entretien de ce personnel. »
Le style de L’Amour suprême qui nous relate une aventure mystique est, au contraire, plein d’émotion et de respect.
« Et c’est pourquoi bien des amants — oh ! les prédestinés ! — ont su, dès ici-bas, au dédain de leurs sens mortels, sacrifier les baisers, renoncer aux étreintes et, les yeux perdus en une lointaine extase nuptiale, projeter, ensemble, la dualité même de leur être dans les mystiques flammes du Ciel. »
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