Georges est l’aîné, fort et en bonne santé. Abel, le cadet, est faible et souffreteux. Un jour de chasse, Georges ne rentre pas. On le découvre noyé sous la glace de l’Arvette gelée…
Un drame policier psychologique paru en feuilleton dans Le Figaro du 2 avril au 2 mai 1888.
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… ça chipote… ça ergote… sec !… sur… ” aux tout débuts ” ( la… ” graphe “… est par contre… ” ortho “… )… Je renvoie chacun à ” Google “… Hum… 🤔🫣🧐… Tous ces pinaillages… ne me convainquent pas… Et vous ?…
… par contre… octave s ‘ emploie plutôt au feminin… mais le masculin n’ est pas fautif… j ‘ echappe au coup de… règle … sur les doigts… 😛…
Salut Daniel LUTTRINGER…
Une lecture que nous ferons… avec ou sans commentaire…
C ‘ est comme si… c’ etait déjà fait… Nous goûtons Jules LERMINA…
Bien à vous…
De notre côté, Marie et moi goûtons votre prose ô combien singulière !
Bonjour… Bonjour…
😉… ( 🦀 ) …
Salut… Daniel LUTTRINGER…
Nous l ‘ avons faite… cette lecture… et elle ne fait… que conforter… l’ estime… dans laquelle… nous tenions déjà… Jules LERMINA… Un ecrivain… qui a plusieurs octaves… dans… la plume… du plus léger… au plus grave… et écrit toujours… sans fausse note… quel que soit le registre… Une belle découverte que je vous dois… et… plus largement… à ” LA “… que cette contrainte… des 70 ans de délai de ” viduité ” … a poussé… à un inventaire minutieux… des greniers du XIXEME siècle… Et là… que de belles trouvailles… que de magnifiques découvertes… sous la poussière de l ‘ oubli… Pour ma part… dans l’ instant où je vous parle … me viennent à l ‘ esprit… ” L’ élève Gilles “… de Michel LAFON… admirablement lu par GAËLLE 🍓… ou ce… ” Monsieur RIPOIS “… de Louis HEMON… dans la belle lecture de Bernard MORA…
Bien sombre histoire… ” Abel ” … Noire… Et quel art de la narration !… Sans le moindre” pathos “… dans le sens pejoratif… qu ‘ a pris le mot… Comme un avant-goût des plus noires histoires de MAUPASSANT… Quel génie litteraire aussi !… Dans les tout débuts… deux ou trois métaphores… inattendues… que n’ aurait pas reniées… Marcel PROUST…
Le nom du triste héros… bien sûr… donné par anti-phrase…
Et la geniale métaphore… de l ‘ Averne… son eau gelée… sa traitreuse carapace de glace…
La mise en abyme de tout le drame !… Se méfier de l’ eau qui dort…
La lecture que vous faites… fidèle à l ‘ éthique… que vous nous avez explicitée un jour… et donc… fidèle au texte… à la lecture de la page imprimée… sert l’ auteur… en toute humilité ( 😎😉)…
Mon plus cordial salut… PLUMBAGO ! ( des fleurs qui me sourient… dans la petite rue de tous les jours… )…
… L ‘ Arvette… pas… l’ Averne !… 🙃🤭😊…
Dont acte…
… oui… mon esprit scrupuleux… m ‘ a poussé à une verification…
je disais ce matin… “… comme un avant-goût de MAUPASSANT… “…
Cette nouvelle a été publiée en 1894… MAUPASSANT est mort… à 43 ans… en 1893…
Disons alors… que LERMINA… en a fait son miel… en a tiré de la substantifique moelle… et surtout pas… que son ” Abel “… a… un arrière-goût de MAUPASSANT !…ce qui colorerait… d ‘ une nuance depreciative… un jugement entièrement positif…
On retrouve la prose hachée, hachurée, finement labyrinthique de notre Sautillant, prolixe en diable, appréciateur du texte, de l’auteur et – il ne l’oublie jamais – du lecteur ! Merci à lui.
Hâte de lire le commentaire de Sautillant à propos de cette nouvelle publication que, pour ma part, j’écouterai avec plaisir.
Bonne journée
Bonjour MARIE…
Un haiku de BASHÔ… pour vous aussi…
” De quel arbre en fleur
je ne sais –
mais quel parfum ”
Du lard ou du cochon… je ne sais… moi non plus…
Du… pince – sans – rire… quoi qu ‘ il en soit !…
J’ apprécie… 🌹🌻🌼🌷🪻…