“Je cherche à mettre de la vie dans mes poèmes, à leur donner une odeur de pain blanc, un parfum de lilas, la fraîcheur d’une tige de saule.” – René-Guy Cadou
A la lecture du poème “Automne”, j’ai une pensée affectueuse envers M. Escuyer, notre instituteur de la classe de CM2, qui nous l’a fait connaître et aimer.
Les vingt-cinq poèmes qui le suivent sont les Poèmes choisis – 1944-1950 publiés par les éditions Chiffoleau (en 1951), et que René-Guy Cadou a dédiés à sa femme Hélène.
Certains de ces poèmes (notamment Les Visages de solitude, et Art Poétique) font partie d’une autre sélection, lue par un autre DDV, ici. Les deux sélections sont cependant largement différentes et complémentaires.
René-Guy Cadou et sa femme Hélène.
Bonjour… Alain DEGANDT…
Coïncidence…
” Je ne vois pas de différence de principe entre un poème et une poignée de mains…”…
Parole de Paul CELAN… citée dans un très interessant article de… ” En attendant NADEAU “… intitulé… ” Quand CELAN et CADOU se serrent la main”…
Trouvé dans ma b. a. l. … ce matin…
Merci pour cette lecture… et…
… poignée de mains… 😉…
Merci cher Sautillant pour votre commentaire chaleureux, enrichi par cette parole de Celan venue dans votre boîte aux lettres par une heureuse coïncidence. Merci aussi pour avoir placé cette lecture parmi vos favoris (-ites 😉). À mon tour de vous serrer amicalement la pogne !