Diététique et remarques intéressantes, au XIXème siècle…
« On s’imagine assez généralement qu’en mangeant un bifteck ou des légumes on absorbe des principes constitutifs très dissemblables ; c’est une illusion. Bifteck ou légumes sont constitués à peu près de la même façon, aux proportions près. On peut ranger les substances alimentaires sous quatre chefs principaux … »
« Pour qu’un homme donne son maximum de travail, il faut qu’il trouve dans son alimentation de la graisse et de l’hydrate de carbone. Les légumes renferment de l’azote ; ils contiennent un peu moins de graisse que la viande, mais en revanche beaucoup plus d’hydrocarbonés. A première vue, il semble donc que les végétariens soient absolument dans la vérité. L’alimentation végétale donnerait à la fois le muscle et la vigueur ; mais il ne faut pas se hâter de conclure. Voyons les faits d’un peu plus près… »
Texte publié par Henri de Parville, 1838-1909, dans la revue La lecture (1888).
CHRISTIANE-JEHANNE… Bonjour …
” L ‘ art de manger “… Disons plutôt… la physiologie de la nutrition !
On ne mange pas… on entretient la chaleur… l’ energie… on construit des tissus… etc… etc… Le scientisme du XIX ème siècle… son hygienisme… Une logique qui conduit tout droit … aux petites pilules…
qui nous pendent au nez ! Intéressant… d ‘ accord… mais pas très… humain… La vie… sans la vie… Le rationalisme… orgueilleux et… finalement …” impie ” … sans foi ni abandon… Tout demonter… tout contrôler… Brrr… De quoi vous couper l’ appétit !
Bien cordialement…
Bonjour Sautillant, prenez soin de vous, bien cordialement, 🙂 Christiane-Jehanne.