Vers les quatre heures, ce joli jour de mai, Bastidon, tout endimanché, regagnait son logis, tout réjoui d’avoir été des convives posthumes de Garnoulin, à un somptueux déjeuner, selon les dernières volontés du défunt, qui avait été toute sa vie un bon vivant et un joyeux compère. Tout d’un coup, Bastidon eut la surprise de découvrir un soulier… avec un pied à l’intérieur, un pied qui, de toute évidence, appartenait à Garnoulin qui venait d’être enterré.
Le Parquet décide de faire ouvrir le cercueil du mort. A l’intérieur, on découvre que le corps n’est pas celui de Garnoulin, mais d’un homme inconnu, poignardé en plein cœur.
Le commissaire Rosic va être confronté à l’une des plus étranges affaires de sa carrière de policier.
Couverture de l’édition originale (1932, éditions Jules Taillandier)
Chère Cocotte, j’ai beaucoup apprécié cette nouvelle, lue avec toujours autant de verve par vous ! J’ai trouvé réjouissant que l’auteur prenne le temps de récapituler assez souvent les stades de l’enquête. La première enquête de ce cher Rosic en rapport avec un train avait obligé mes méninges à chauffer très fort, et même j’avais eu besoin de prendre des notes pour m’y retrouver !😃
Merci d’exister chère Cocotte,
Marjolaine vous embrasse amicalement.
Chère Marjolaine
Je vous remercie chaleureusement pour votre commentaire. Ce cher Rosic est un aimable anti-héros, en effet, mais ses enquêtes sont originales et intéressantes. Celles qui ne sont pas encore dans la bibliothèque seront publiées sous peu par mes camarades. Elles vous plairont. Rodolphe Bringer a écrit d’autres romans policiers, sans Rosic, mais elles provoqueront quand même de l’intérêt, je l’espère. Merci pour votre fidélité, qui m’est précieuse et oriente beaucoup mes choix de lectures.
Je vous embrasse amicalement
Cocotte.
Chère Cocotte
Merci pour cette nouvelle que jai beaucoup aimé. I’intrigue y était très bien développé et la dénouement inattendue! Grâce à votre excellente lecture j’ai pu encore passer de bons moments d appréciations et de détentes. Je vous souhaite le bonheur, la félicité et la santé
Amicalement
Stew
Cher Stew
Quel plaisir de vous retrouver! C’est vrai que le dénouement est inattendu. On a toujours des surprises avec Bringer. Puisque vous aimez le commissaire Rosic, je publierai bientôt une autre de ses aventures. Je suis ravie de vous avoir procuré quelques heures d’évasion, dans ce présent bien triste. J’apprécie énormément votre fidélité ainsi que vos commentaires si pertinents et encourageants.
Bien que ce soit un peu tard pour les vœux, je vous souhaite le meilleur, dans tous les domaines, et la réalisation de tous vos désirs.
Amitiés
Cocotte
COCOTTE… Bonjour !
Un soulier qui entraîne notre balourd commissaire dans une course échevelée… et lui donne bien du fil… de fer… à retordre ! Un temps… il s ‘ imagine que grâce à la sagacité proverbiale… qu’ on lui reconnaît… lui surtout… ( mais comme dit le poète… ” Il n’ y a pas de mal à caresser… de temps en temps… son propre mythe “… )… et l ‘ aide du hasard… ce dieu protecteur des policiers… veni vidi vici ! Fier comme un pou… il se rengorge… se pavane… s’ aureole… Las… las… las…
le soufflet retombe… et le voici contraint… encore une fois… de se faire tout petit… petit… dans ses petits souliers… Les bottes de 7 lieues n ‘ etaient qu’ une illusion !
Très bonne histoire… écoutée avec grand plaisir…
avec l ‘ accent local… par dessus le marché… puisque toutes ces histoires se passent dans le sud de notre belle France…
Je ne connaissais de BRINGER… que ces enquêtes du commissaire ROSIC… mais je découvre qu’ il a écrit d ‘ autres textes plaisants à lire et ecouter… ” Le crime du puits “… que vous nous avez lu… et ” Le crime de mademoiselle POUQUE “… par Christian DOUSSET…
Un filon à exploiter … donc !
À une prochaine lecture…
Bon Dimanche…
Mes amitiés…
Ps…
Je me dis… à tort ou à raison… que… ” par-dessus le marché “… a une connotation plutôt négative… une misère… petite ou grande… s ‘ ajoutant à une collection d’ autres… Je biffe… et remplace par… en prime ! 🍒🍒🍒…
Pps…
J ‘ ai bien aimé… aussi… la touche… franciscaine… du commentaire précédent…
” Jusqu’ aux mesanges qui cherchaient à entrer par la porte-fenêtre , comme pour ecouter elles aussi , cette étonnante histoire “…
De quoi remonter le moral… dans les chaussettes… de notre auto-extatique commissaire… 😇😇😇…
Ah! que beau commentaire, cher Sautillant! Je regrette de ne pas l’avoir mis en présentation de ce livre! Heureusement, les audio lecteurs pourront le lire in extenso dans les messages! Que dire de plus? Vous avez tout dit, avec beaucoup d’élégance! Et avec un entrain… sautillant!
Un grand merci chaleureux pour ce commentaire, très amical et très encourageant.
J’ai encore, dans mes tiroirs, 4 romans de Bringer. Je continuerai, puisque notre cher commissaire plaît aux audio lecteurs et lectrices. Donc, à bientôt!
Toutes mes amitiés!
Cocotte
Merci chère Cocotte ,formidable énigme que vous nous offrez et dont je viens de déguster le premier épisode pendant mon déjeuner ( c’est autre chose que les mauvaises nouvelles de la télévision )
Jusqu’aux mésanges qui cherchaient à entrer
par la porte fenêtre comme pour écouter elles aussi ,cette étonnante l’histoire.
Je me sens toute legère à l’idée de cette nouvelle lecture qui va égayer les prochains jours .Je vous souhaite de passer une excellente fin de semaine ,avec pour vous aussi de belles surprises.
Amicalement.
Rose Marie
Chère Rose Bretagne
Merci beaucoup, beaucoup, encore, pour votre encourageant commentaire. Que je suis heureuse de faire plaisir à vos mésanges! Tiens, une idée! Je vais lire quelque chose à leur intention, vous aurez la surprise, et elles aussi.
En effet, il s’agit d’une formidable énigme, dont on ne se doute pas en lisant le premier chapitre. Elle nous tient en haleine jusqu’à la dernière ligne! Je vous souhaite une très belle fin de semaine, à vous aussi. Vous devez avoir un beau soleil en Bretagne.
Amitiés
Cocotte