Hymne à la dive bouteille que n’eût pas désavoué Rabelais…
« Moi, l’âme du vieux vin, cette âme, plus vivante que notre âme, cette âme des Mozart, des Gluck, des Weber, des Théodore Hoffmann, envahissait mon être et me faisait dresser les cheveux sur la tête.
– Oh ! m’écriai-je, souffle divin ! oh ! musique enchanteresse ! Non, jamais, jamais mortel ne s’est élevé plus haut que moi dans les sphères invisibles. »
« Ô nobles coteaux de la Gironde, de la Bourgogne, du Rhingau ; et vous, ardents vignobles de l’Espagne et de l’Italie : Madère, Marsalla, Porto, Xérès, Lacryma-Christi ; et toi, Tokai, généreux hongrois ! je vous connais maintenant : Vous êtes l’âme des temps passés, des générations éteintes !… Bonne chance je vous souhaite ! Puissiez-vous fleurir et prospérer éternellement. »
toujours ravie avec votre site, un bravo de Buenos Aires
bonjour votre travail est tellement intéressant surtout ce qui me plait le plus c’est le lecteur surtout quand il rit en plein lecture ce qui centre l’auditeur dans le monde du contexte qu’il relate comme si c’était une réalité du moment merci