Un dialogue « piquant » entre deux jeunes hommes en 1888.
« Tu sais, mon cher, que les femmes ont toujours sur elles une armée d’épingles. Les épingles à cheveux, je les connais, je m’en méfie, et j’y veille, mais les autres sont bien plus perfides, ces sacrées petite épingles à tête noire qui nous semblent toutes pareilles, à nous grosses bêtes que nous sommes, mais qu’elles distinguent, elles, comme nous distinguons un cheval d’un chien. »
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Livre audio gratuit ajouté le 04/04/2012.
Merci M. Depasse.
Merci pour cette lecture ! cordialement !