Publiée en 1831, La Grande Bretèche a été rattachée à Autre Étude de femme en 1842 qu’il est préférable de connaître avant d’écouter ce récit mystérieux et fantastique rapporté par le médecin Horace Bianchon qui, un jour, découvre près de Vendôme une maison abandonnée dont les ruines et l’étrange beauté l’intriguent. C ‘est en effet un tombeau intouchable selon les dernières volontés de la propriétaire défunte.
« Par ces brèches irrégulières, vous pourriez observer la parfaite harmonie qui existe entre la façade du jardin et la façade de la cour. Le même désordre y règne. Des bouquets d’herbes encadrent les pavés. D’énormes lézardes sillonnent les murs, dont les crêtes noircies sont enlacées par les mille festons de la pariétaire. Les marches du perron sont disloquées, la corde de la cloche est pourrie, les gouttières sont brisées. Quel feu tombé du ciel a passé par là ? Quel tribunal a ordonné de semer du sel sur ce logis ? − Y a-t-on insulté Dieu ? Y a-t-on trahi la France ? Voilà ce qu’on se demande. Les reptiles y rampent sans vous répondre. Cette maison, vide et déserte, est une immense énigme dont le mot n’est connu de personne. Elle était autrefois un petit fief, et porte le nom de La Grande Bretèche. »
Merci M. Depasse.
merci de votre enthousiasme
Merci M. Depasse.