« Aux approches de la vieillesse surtout, j’ai pris plaisir, pendant le repos de l’été, à recueillir ces bruits lointains d’une Atlantide disparue. De là sont sortis mes souvenirs d’enfance. Ce sont les images qui me sont apparues et les réflexions qui me sont venues à l’esprit, pendant que j’évoquais ainsi un passé vieux de cinquante ans. » (Renan, Préface des Souvenirs d’enfance et de jeunesse 1883)
La célèbre Prière sur l’Acropole, deuxième récit de cette oeuvre autobiographique, est précédée de l’histoire du Broyeur de lin, un pauvre vieux noble de Bretagne, ruiné par la Révolution, et de sa jeune fille qui endure un drame affreux la menant peu à peu à la folie : « Elle ne parlait à personne, personne ne songeait à elle, son histoire était évidemment oubliée. Elle ne nous dit jamais un seul mot ; mais cet œil fauve et hagard nous frappait profondément, nous troublait. J’avais souvent pensé depuis à cette énigme sans arriver à me l’expliquer. »
L’auteur a plus tard appris de sa mère la clef de ce mystère et nous le révèle.
Cher Monsieur Depasse,
J’aimerais vous témoigner une sorte d’affection même si je ne vous connais pas.
Perdant la vue, peu à peu, depuis 20 ans, cela me console un peu de vous entendre lire si admirablement Balzac, Sand, Renan ..
Merci à vous.
toujours autant de plaisir á écouter RENE DEPASSE
merci de tout coeur á son talent !
Merci René DEPASSE, j’aime tout ce que vous lisez pour nous.
J’ai pu oublier mes maux et patienter de nombreux mois à l’hôpital grace à vous.
J’attends avec impatience vos vivantes lectures.