Dernier écho de la passion de Musset
pour George Sand (Aurore Dupin).
Ici, pour Musset, le bonheur
n’existe que dans l’amour
qu’il faut rechercher, non pour le conserver,
mais pour l’avoir eu et s’en souvenir.
Ainsi être à la recherche du temps perdu
où le souvenir n’est pas un regret stérile du passé,
mais un moment libéré de toute attache,
où chaque instant est fixé
dans sa durée et dans son éternité.
Une façon de reconquérir sa jeunesse.
« Un souvenir heureux est peut-être sur terre
Plus vrai que le bonheur ».
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
‘Comme sortie des aquarelles de George Sand’, photographie de Ghislaine Dupré, de l’album ‘Le-Berry-de-George-Sand’ (29 octobre 2008). Avec l’aimable autorisation de l’artiste.
Extraits du quatuor à cordes en ré mineur D. 810 « La Jeune Fille et la Mort », deuxième mouvement, andante con moto, de Franz Schubert.
Avec les violonistes Anton Kamper et Karl Maria Titze, l’altiste Erich Weis et le violoncelliste Franz Kvarda du quatuor à cordes Vienna Konzerthaus.
(enregistrement 1950-1953 – domaine public – Musigratis)
Merci a vous Gilles Claude,vous avez le don de décupler la force de de poeme et Merci a Alfred pour cet instant délicieux des mots et des vertiges que demander de mieux.
Merci a Gilles-Claude.Une bonne poesie avec une voix formidable.
C’est toujours un bonheur que de vous écouter 🙂
Merci à vous cher Gilles-Claude.
Sophie