Durant la période 1888-1889 que Van Gogh passe à Arles, il réalise sans discontinuer des études de la Provence et envoie un tas de lettres (on en possède de lui plus de 900). Pendant ce temps en Bretagne, à Pont-Aven, Paul Gauguin, désargenté et en mauvaise santé, fait quantité de dessins et de peintures. Vincent amplifie les couleurs de la nature pour la rendre plus vive et Paul, plus laborieusement, la modifie à son goût pour créer des images fantastiques
« Je dois dire que même pendant le travail je ne cesse à songer à cette entreprise de fonder un atelier ayant vous-même et moi pour habitants fixes, mais dont nous désirerons tous les deux faire un abri et un asile pour les copains du moment où ils se trouveront acculés dans leur lutte. » (Van Gogh).
« Et ce Valjean que la société opprime mis hors la loi, avec son amour, sa force, n’est-il pas l’image aussi d’un impressionniste aujourd’hui ? En le faisant sous mes traits, vous avez mon image personnelle ainsi que notre portrait à tous, pauvres victimes de la société. » (Gauguin).
Monsieur Depasse, j’adore votre façon de lire, l’intonation de votre voix… Comme vous savez donner vie aux textes que vous lisez! Merci pour ce don.
Mr Depasse,
Merci pour vos lectures, elles me permettent de partager l’intimité de peintres donc j’aurais aimé être l’élève. Je vous écoute en travaillant et il me semble de vivre un peu avec eux.
Salutations distinguées.
Kamillilya
Trés agrable, merci !
merci à vous donneurs de voixet un grand merci
allègre à René Depasse. Vous faites un
merveilleux travail et cela fait un bien immense
à beaucoup de gens perclus dans l’absence d’être.
Merci M. Depasse.
Magnifique René!
La girafe a adoré!!! 😉
À bientôt
Sophie