« L’idée d’une conscience polie ! quelle bonne plaisanterie ! quelle excellente farce ! Toutes les consciences dont j’ai entendu parler étaient brutales, boiteuses, sermonneuses, en un mot d’odieuses bêtes féroces. Oui ! et elles s’agitent toujours pour de pauvres petits riens insignifiants. Que la peste les étouffe toutes ! J’échangerais la mienne contre la petite vérole et toutes les maladies de poitrine possibles, trop heureux de m’en débarrasser. »
Traduction : François de Gail (1910).
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Illustration :
Mark Twain
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Livre audio gratuit ajouté le 20/01/2011.
Merci M. Depasse.
Je viens de découvrir votre site un peu par hasard. J’ai beaucoup aimé cette nouvelle qui nous laisse entrevoir ce que l’homme deviens quand il se débarrasse de sa conscience..
J’ai beaucoup aimé également le ton du narrateur, précis et caustique.