Une idée intéressante que de dévolopper la pensée de Juliette dans son tombeau. Seules les lignes suivantes ne correspondent pas à ce qu'il me plaisait d'imaginer. Je m'étais inventé une Juliette moins réflexive, à ce moment-là, plus immédiate…Suis-je trop romantique?
” Elle se précipite vers la porte du tombeau, que la lueur des flambeaux lui dessine; mais il est fermé de l’extérieur, et elle se met alors à taper de toutes ses forces sur les lourds vantaux de bronze sculpté, dont les bas-reliefs lui font mal. Nul ne peut dire combien de temps dure cette rage – ses mains ensanglantées sont engourdies par la douleur, et les cris qu’elle pousse commencent à éteindre sa voix.”