Un être esseulé.
Les croyances s’effondrent
alors que la Vérité se révèle comme une vertu
à la fois cruelle et sacrée, puisqu’éternelle.
Un thème on ne peut plus traditionnel.
Seul l’art du poète peut le renouveler.
Un sonnet qui s’exprime sous la forme
d’une lamentation et qui s’achève
sur une certaine paix retrouvée.
Les larmes ne nous rendent-elles pas vivants ?
‘Pour vivre et pour sentir l’homme a besoin des pleurs ’,
disait la Muse au Poète (Alfred de Musset, La nuit d’octobre).
Ambiance musicale :
Arioso ‘Behold, and see if there be any sorrow like unto His sorrow ‘ (Regardez et voyez s’il est une douleur comme la sienne – en référence au Livre des Lamentations 1,12 ) du Messie de Handel, avec le ténor David Lloyd et l’Orchestre philharmonique de New York sous la direction de Leonard Bernstein (enregistrement de 1956).
Illustration :
‘Au Seuil de l’Éternité ’ de Van Gogh, peint en 1890, l’année de sa mort.
Musée Kröller-Müller, Otterlo, Pays-Bas.
La mention « (Version 3) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1, Version 2.
belles pensées belles paroles on ne se lasse pas
Merci Pomme. C’est très gentil !
Superbe émotion! Fin MAGNIFIQUE!
Pomme.
Cher Gilles-Claude
C’est un compliment bien sincere. Je regrette seulement que vous et quelques autres donneurs de voix produisiez si peu… Il faut croire que c’est la rancon de la qualite.
L
C’est gentil, Sophie et Léa. Merci toujours et encore.
GC
J”aime beaucoup vos lectures.
Cher Gilles-Claude,
Vos lectures sont toujours aussi bien dites. Merci encore.
Sophie