Ce n’est ni le Gogol déprimé, ni le mystique maladif qui écrit La Calèche, mais l’humoriste qui nous divertit avec cette amusante histoire où l’alcool joue un rôle déterminant
« À peine assis, il trouva devant lui un verre de punch que, par distraction, il avala d’un trait. Après avoir fait deux robres, il trouva sous sa main un nouveau verre de punch, que, par une nouvelle distraction, il avala également, non sans avoir déclaré :
« Vraiment, messieurs, il est grand temps de me retirer. » […]
On servit le souper. Les vins n’y furent point épargnés, bien entendu, et Tchertokoutski, qui avait une bouteille à sa droite et une autre à sa gauche, se vit parfois obligé presque inconsciemment de remplir son verre. »
Une autre traduction de ce texte a été lue par un DDV différent : voir ici
Merci monsieur Depasse !