Eugène Fromentin est un grand peintre doublé d’un écrivain. De 1846 à 1848 il visita l’Algérie et en revint avec des croquis qu’il transforma en tableaux présentés à divers salons avec succès. Il y retourna deux fois et publia en 1858 Une Année dans le Sahel, journal où il relate à un ami ses impressions, décrit en artiste des paysages somptueux, nous initie à la pensée et aux moeurs des Arabes et nous parle avec passion de l’art de peindre.
« Il y a deux hommes qu’il ne faut pas confondre, il y a le voyageur qui peint, et puis il y a le peintre qui voyage. C’est toute une différence, comme vous voyez. Et le jour où je saurai positivement si je suis l’un ou l’autre, je vous dirai exactement ce que je prétends faire de ce pays. »
Les amateurs de peinture sont invités à mettre un nom sur ces trois hommes « anonymes » du chapitre 7 : « Trois hommes, depuis vingt ans, résument à peu près tout ce que la critique moderne a nommé la peinture orientale. L’un a fait avec l’Orient du paysage, l’autre du paysage et du genre, le troisième du genre et de la grande peinture. Chacun d’eux a vu l’Orient, et l’a bien vu. »
Cher Robert,
Merci pour votre message !!!, le fichier et l’archive ZIP correspondants sont en cours de ré-envoi sur le serveur – les remplacements seront effectifs dès 13 h 30 ce jour.
A très bientôt à nouveau sur le site !!!
Carole
Bien lu, le lecteur est une valeur sûre ; inutile de tester le produit avant de le télécharger.
A signaler au chapitre 4 une occurrence du fameux chapelet depassien : une série de «non ! non ! non ! non !», qui est la marque de fabrique de M. Depasse ; mais cela, loin de gêner, semble être un coup d’œil à l’auditeur habitué.
Merci, M. Depasse, et à la prochaine, oui, oui, oui !