Avait-on besoin d’une quatrième version ? Non, bien sûr ! La voici tout de même, pour le plaisir tout simplement.
« – Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige.
Un cœur tendre qui hait le néant vaste et noir
Du passé lumineux recueille tout vestige ;
– Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige ;
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
[…] »
L’image nous vient de Katowice en Pologne par cette voie.
La mention « (Version 4) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1, Version 2, Version 3.
Ludwig van Beethoven, Sonate 05 Op024-02a, interprété par Arthur Grumiaux et Clara Haskil (1957, domaine public).
Votre témoignage me comble puisque vous qui connaissez et aimez Baudelaire, n’avez point été déçu. Merci pour votre commentaire et bonne continuation avec la littérature française…